Un discours très attendu
Emmanuel Macron a choisi de s'exprimer ce lundi 24 juillet, non pas depuis l'Élysée, mais depuis Nouméa, en Nouvelle-Calédonie. Une décision symbolique, montrant l'importance qu'il accorde à tous les territoires français. Selon les informations recueillies, ce discours était d'autant plus attendu qu'il s'agissait de la première prise de parole du Président depuis l'annonce des « cent jours d'apaisement ».
Le choix de ne pas s'exprimer le 14 juillet, respectant ainsi une tradition républicaine, avait suscité de nombreuses interrogations. Cependant, ce lundi, le Président a finalement pris la parole, s'adressant non seulement aux Calédoniens mais à tous les Français. Il a choisi de le faire sous la forme d'une interview pour les journaux de 13 heures de TF1 et France 2, en direct de Nouméa.
Le choix de ne pas s'exprimer le 14 juillet, respectant ainsi une tradition républicaine, avait suscité de nombreuses interrogations. Cependant, ce lundi, le Président a finalement pris la parole, s'adressant non seulement aux Calédoniens mais à tous les Français. Il a choisi de le faire sous la forme d'une interview pour les journaux de 13 heures de TF1 et France 2, en direct de Nouméa.
Les priorités du Président Macron
Lors de son discours, Macron a réaffirmé ses priorités pour la France : l'éducation, l'écologie et la sécurité. Ces thèmes, bien que vastes, montrent la direction que souhaite prendre le Président pour le reste de son mandat. Selon les sources, il a évoqué la nécessité de suivre « à marche forcée » un cap clair, axé sur l'indépendance économique et stratégique du pays.
Il a également promis de dévoiler à la rentrée la « planification écologique », un projet repoussé à plusieurs reprises. Face aux récentes émeutes de fin juin, Macron a assuré qu'une « réponse complète et profonde » serait apportée. Enfin, concernant le budget 2024, il a souligné l'importance de suivre un « cadre exigeant », montrant ainsi sa volonté de rigueur budgétaire.
Il a également promis de dévoiler à la rentrée la « planification écologique », un projet repoussé à plusieurs reprises. Face aux récentes émeutes de fin juin, Macron a assuré qu'une « réponse complète et profonde » serait apportée. Enfin, concernant le budget 2024, il a souligné l'importance de suivre un « cadre exigeant », montrant ainsi sa volonté de rigueur budgétaire.