L’attrait des mots de passe trop simples
Encore une fois, et probablement encore pour longtemps, le pire mot de passe de l’année selon SplashData est l’indétrônable « 123456 » qui représente, probablement, le niveau zéro de la sécurité sur Internet. A la deuxième place du classement publié le 18 décembre 2019, son cousin, « 123456789 » et, en guise de médaille de bronze, sa version lettrée « qwerty », l’équivalent de « azerty » sur les claviers anglais.
Trois mots de passe qui sont non seulement très faciles à deviner mais également extrêmement simple à craquer dans le cadre d’une attaque dite « par force brute » qui consiste à essayer toutes les combinaisons jusqu’à trouver la bonne, via un simple logiciel. Dans le top 10 on trouve, entre autres, le mot de passe « password » (« mot de passe » en anglais) ou encore « 111111 ».
Trois mots de passe qui sont non seulement très faciles à deviner mais également extrêmement simple à craquer dans le cadre d’une attaque dite « par force brute » qui consiste à essayer toutes les combinaisons jusqu’à trouver la bonne, via un simple logiciel. Dans le top 10 on trouve, entre autres, le mot de passe « password » (« mot de passe » en anglais) ou encore « 111111 ».
Une utilisation beaucoup trop répandue
S’il sera difficile d’empêcher que ces mots de passe disparaissent, c’est que leur utilisation est répandue même chez celles et ceux qui se soucient de la sécurité, sur des sites peut-être considérés comme « moins importants » à leurs yeux. Ainsi, selon SplashData, au moins 10% de la population mondiale a utilisé au moins une fois un des 25 pires mots de passe de l’année, en 2019. 3% de la population a utilisé le pire, « 123456 ».