Knee Defender. On pourrait croire à un nouveau jeu vidéo. Mais en fait, pas du tout. Le Knee Defender est un gadget qui a été imaginé en 2003. Il a été conçu par un Américain énervé du cervelet qui voulait être tranquille en avion. Il a donc mis au point un système qui empêche le passager de devant, d’incliner son siège. Sa praticité n’est pas remise en question. En revanche, il semblerait que le Knee Defender ait déterré la hache de guerre entre les passagers. On parle de la guerre des genoux...
Le Knee Defender, ou « défenseur du genou » une fois traduit, se compose de deux clips. Ces derniers s’accrochent sous la tablette qui est devant soi. Les petites pièces de métal empêchent son voisin de devant, en avion, d’incliner son siège. Ainsi, le passager qui le détient et l’utilise, profite d’une place optimale pour ses jambes. Aujourd’hui, en classe économique, l’espace entre les sièges pour un vol long-courrier est passée de 47 centimètres à 43 en moins de dix ans. D’où l’utilisation du Knee Defender. Mais évidemment, tout cela ne se fait pas sans casser des œufs. C’est même la guerre des nerfs. En classe affaire, où les voyageurs ont plus de place pour leurs jambes, on ne se bat pas...
En revanche, en classe éco, les heurts se multiplient. Le dernier en date : un vol intérieur de la United Airlines a dû être dérouté la semaine dernière. Deux passagers se sont écharpés à cause d’un Knee Defender ! Trois jours après, sur un vol Miami-Paris d’American Airlines, les verres ont même volé… L’utilisateur du clip a été menotté. Une fois encore, l’avion a été détourné sur l’aéroport de Boston, où les deux énervés ont été débarqués manu militari.
Le détenteur du Knee Defender, un Français de 61 ans, qui souhaitait bloquer sa tablette afin d’utiliser son ordinateur, risque 6 mois d’emprisonnement et 500 dollars d’amende. Un peu cher quand on sait que le Knee Defender s’achète 17 euros sur Internet… Pour le moment, la FAA (l’Administration de l’aviation civile américaine) ne l’a pas encore interdit. Mais au vu des récents couacs, ça ne devrait pas tarder… Knee Defender : chacun pour soi ?
Le Knee Defender, ou « défenseur du genou » une fois traduit, se compose de deux clips. Ces derniers s’accrochent sous la tablette qui est devant soi. Les petites pièces de métal empêchent son voisin de devant, en avion, d’incliner son siège. Ainsi, le passager qui le détient et l’utilise, profite d’une place optimale pour ses jambes. Aujourd’hui, en classe économique, l’espace entre les sièges pour un vol long-courrier est passée de 47 centimètres à 43 en moins de dix ans. D’où l’utilisation du Knee Defender. Mais évidemment, tout cela ne se fait pas sans casser des œufs. C’est même la guerre des nerfs. En classe affaire, où les voyageurs ont plus de place pour leurs jambes, on ne se bat pas...
En revanche, en classe éco, les heurts se multiplient. Le dernier en date : un vol intérieur de la United Airlines a dû être dérouté la semaine dernière. Deux passagers se sont écharpés à cause d’un Knee Defender ! Trois jours après, sur un vol Miami-Paris d’American Airlines, les verres ont même volé… L’utilisateur du clip a été menotté. Une fois encore, l’avion a été détourné sur l’aéroport de Boston, où les deux énervés ont été débarqués manu militari.
Le détenteur du Knee Defender, un Français de 61 ans, qui souhaitait bloquer sa tablette afin d’utiliser son ordinateur, risque 6 mois d’emprisonnement et 500 dollars d’amende. Un peu cher quand on sait que le Knee Defender s’achète 17 euros sur Internet… Pour le moment, la FAA (l’Administration de l’aviation civile américaine) ne l’a pas encore interdit. Mais au vu des récents couacs, ça ne devrait pas tarder… Knee Defender : chacun pour soi ?