"Il ne s'agit pas seulement de droits humains fondamentaux, mais également d'une exigence absolue pour la tenue d'élections libres, transparentes et crédibles dans un climat pacifique », ont déclaré les membres de la Commission dans un communiqué de presse, ajoutant que "lors d'un exposé la veille devant le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, la Commission a conclu que les huit facteurs de risque communs aux atrocités criminelles (développés en 2014 par les conseillers spéciaux des Nations Unies pour la prévention du génocide et la responsabilité de protéger) qui s'appliquaient au Burundi dans le rapport qu'elle avait présenté en septembre 2019, sont toujours d'actualité."
La Commission souligne par ailleurs que certains de ces facteurs sont « encore plus marqués qu'auparavant », à l'approche des élections au Burundi. Un climat tendu malheureusement habituel dans cette région.
La Commission souligne par ailleurs que certains de ces facteurs sont « encore plus marqués qu'auparavant », à l'approche des élections au Burundi. Un climat tendu malheureusement habituel dans cette région.