Parfois, les tweets en disent plus longs qu’ils ne le veulent. C’est le cas notamment, dans le secteur de l’immobilier. L’activité sur Twitter et le nombre de tweets échangés peuvent annoncer « l’embourgeoisement d’un quartier. » C’est ce que révèle Lefigaro.fr, qui se fait l’écho d’une étude britannique allant dans ce sens. Ainsi, rapporte le site du quotidien, « à Londres, pas moins de 549 791 mentions géographiques sur les réseaux sociaux ont permis à une équipe de chercheurs d’identifier les spots huppés de demain. »
Les chercheurs de l’Université de Cambridge en Grande-Bretagne, se sont en effet penchés sur un phénomène nouveau, mais tout ce qu’il y a de plus fiable : la popularité d’un quartier démontrée par « l’intensité de sa vie numérique. » Pour ce faire, les chercheurs ont comptabilisé les tweets « et autres checks-ins trouvés sur les réseaux sociaux » et utilisant la géolocalisation des smartphones. Ainsi, l’activité numérique « reflétant un attrait pour un quartier » peut permettre de prévoir sa future gentrification.
L’étude a été faite à Londres, dans plusieurs quartiers à la popularité potentielle. Plus de 37 000 personnes ont partagé « leur localisation dans un bar ou restaurant sur les réseaux sociaux », soit 42 080 « spots ». À cette activité numérique, les chercheurs ont superposé plusieurs critères et statistiques, comme la hausse du prix de l’immobilier ou encore, la baisse du taux de délinquance et de criminalité dans un quartier donné.
Au final, ils ont réussi à démontrer « un lien direct entre cette suractivité et l’embourgeoisement à venir », rapporte Le Figaro. L’air de rien, ces utilisateurs créent le buzz et participent à la gentrification prochaine. Info, intox ? Info, « parce que les données des réseaux sociaux permettent justement de savoir le niveau de richesse de l’utilisateur », selon l'un des chercheurs interviewés par le magazine Wired. Alors ? Que les hipters arrêtent de tweeter…
Les chercheurs de l’Université de Cambridge en Grande-Bretagne, se sont en effet penchés sur un phénomène nouveau, mais tout ce qu’il y a de plus fiable : la popularité d’un quartier démontrée par « l’intensité de sa vie numérique. » Pour ce faire, les chercheurs ont comptabilisé les tweets « et autres checks-ins trouvés sur les réseaux sociaux » et utilisant la géolocalisation des smartphones. Ainsi, l’activité numérique « reflétant un attrait pour un quartier » peut permettre de prévoir sa future gentrification.
L’étude a été faite à Londres, dans plusieurs quartiers à la popularité potentielle. Plus de 37 000 personnes ont partagé « leur localisation dans un bar ou restaurant sur les réseaux sociaux », soit 42 080 « spots ». À cette activité numérique, les chercheurs ont superposé plusieurs critères et statistiques, comme la hausse du prix de l’immobilier ou encore, la baisse du taux de délinquance et de criminalité dans un quartier donné.
Au final, ils ont réussi à démontrer « un lien direct entre cette suractivité et l’embourgeoisement à venir », rapporte Le Figaro. L’air de rien, ces utilisateurs créent le buzz et participent à la gentrification prochaine. Info, intox ? Info, « parce que les données des réseaux sociaux permettent justement de savoir le niveau de richesse de l’utilisateur », selon l'un des chercheurs interviewés par le magazine Wired. Alors ? Que les hipters arrêtent de tweeter…