Politique
Web Doc ? On parle ici de nouveaux médias 2.0. Soit, une façon d’utiliser les technologies les plus pointues, afin de raconter autrement, de vraies histoires ou des fictions. Cette forme innovante de documentaires, produits pour être diffusés sur Internet, ce sont les Web Doc, des formats hybrides spécialement conçus pour les écrans, tablettes, ou mobiles - qui ne sont pas des écrans de télévisions. Ils permettent des opportunités de créations infinies.
Interactifs, ces films d’un nouveau genre, permettent, à n’importe quel moment, au spectateur de se promener dans l’histoire, et d’interagir dans le récit. Résultat, le journalisme ou le cinéma classiques, sont légèrement chahutés. Mais cette vigueur créative et inventive fait aussi du bien ! Évidemment, dans la masse, on trouve de tout, le pire comme le meilleur. Arte et France Télévisions, grâce, notamment, à sa plateforme, Nouvelles Écritures, véritable pépinière de talents, produisent de petits bijoux. On peut aussi citer l’agence Narrative, dédiée à ces nouveaux médias. Avec stainsbeaupays.fr de Simon Bouisson et Elliot Lepers, produit par France Télévisions, on suit par exemple, pendant un an, des ados, scolarisés dans un collège de Stains, en Seine-Saint-Denis, auteurs de mini films carrément revigorants.
Pour les non geek, voici un autre exemple de Web Doc : « Gare du Nord. Net » de Claire Simon, diffusé sur France Télévions / Nouvelles Écritures, « Une expérience Web », ou comment, à l’aide de sa souris ou de son trackpad, on « scrolle » et on plonge dans la Gare du Nord. On peut explorer tous ses niveaux, et voir les différences d’ambiance, selon l’heure à laquelle a lieu a connexion. Évidemment, pour le Parisien qui emprunte la 4, et change à la Gare du Nord, à l'heure de pointe, il faudra trouver un autre sujet, et un autre web Doc !
Techniquement, les Web Doc sont conçus en Rich media, un contenu de média interactif qui intègre différents médias : sons, vidéos, photos, textes, animations. Ce support a la capacité de synchroniser l’audio et la vidéo. Ses principales caractéristiques sont l’interaction, l’affichage ultra dynamique, plus le son et la vidéo. À travers ces Web Doc, c’est tout un vivier de nouveaux talents qui émerge. Tous ne restent pas confidentiels, et déranger un peu les codes du journalisme et du ciné, ça fait du bien. Ça peut faire buzzer, aussi.
Interactifs, ces films d’un nouveau genre, permettent, à n’importe quel moment, au spectateur de se promener dans l’histoire, et d’interagir dans le récit. Résultat, le journalisme ou le cinéma classiques, sont légèrement chahutés. Mais cette vigueur créative et inventive fait aussi du bien ! Évidemment, dans la masse, on trouve de tout, le pire comme le meilleur. Arte et France Télévisions, grâce, notamment, à sa plateforme, Nouvelles Écritures, véritable pépinière de talents, produisent de petits bijoux. On peut aussi citer l’agence Narrative, dédiée à ces nouveaux médias. Avec stainsbeaupays.fr de Simon Bouisson et Elliot Lepers, produit par France Télévisions, on suit par exemple, pendant un an, des ados, scolarisés dans un collège de Stains, en Seine-Saint-Denis, auteurs de mini films carrément revigorants.
Pour les non geek, voici un autre exemple de Web Doc : « Gare du Nord. Net » de Claire Simon, diffusé sur France Télévions / Nouvelles Écritures, « Une expérience Web », ou comment, à l’aide de sa souris ou de son trackpad, on « scrolle » et on plonge dans la Gare du Nord. On peut explorer tous ses niveaux, et voir les différences d’ambiance, selon l’heure à laquelle a lieu a connexion. Évidemment, pour le Parisien qui emprunte la 4, et change à la Gare du Nord, à l'heure de pointe, il faudra trouver un autre sujet, et un autre web Doc !
Techniquement, les Web Doc sont conçus en Rich media, un contenu de média interactif qui intègre différents médias : sons, vidéos, photos, textes, animations. Ce support a la capacité de synchroniser l’audio et la vidéo. Ses principales caractéristiques sont l’interaction, l’affichage ultra dynamique, plus le son et la vidéo. À travers ces Web Doc, c’est tout un vivier de nouveaux talents qui émerge. Tous ne restent pas confidentiels, et déranger un peu les codes du journalisme et du ciné, ça fait du bien. Ça peut faire buzzer, aussi.