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Doctolib devient sans surprise la première startup en termes de valorisation. « En annonçant une opération de financement de 500 millions d’euros, mardi 15 mars, elle devient désormais la start-up française la mieux valorisée, à 5,8 milliards d’euros, détrônant Back Market (5,1 milliards d’euros), qui était montée sur la première marche du podium, avec sa levée de fonds de 450 millions d’euros, le 11 janvier 2022 » rapporte Le Monde .
Cette valorisation ne dépend pas uniquement d’une stratégie de recherche de financement. Au total depuis son lancement en 2013, l’entreprise a bouclé 900 millions d’euros de financement. « Pour son dernier tour de table, il a préféré se tourner vers deux de ses investisseurs historiques, Eurazeo et Bpifrance, ce qui est plutôt vu d’un bon œil pour une entreprise qui joue à plein la carte de la souveraineté européenne. L’enveloppe de 500 millions d’euros comprend une part minoritaire de dette » continue le quotidien.
L’entreprise est également rentable avec un chiffre d’affaires estimé entre 180 et 360 millions d’euros annuels. « Cette rentrée d’argent frais va lui permettre d’accélérer son développement, à commencer sur le plan des ressources humaines, qui constitue, pour M. Niox-Chateau, « la première des priorités » : 2 500 personnes travaillent actuellement chez Doctolib, sur les trois marchés que sont la France (50 millions de patients utilisateurs), l’Allemagne (10 millions d’utilisateurs) et l’Italie, qui vient d’être lancé. Et 3 500 nouveaux collaborateurs doivent rejoindre l’équipe dans les cinq prochaines années, dont 700 dès cette année. La moitié des recrutements visent à améliorer l’accompagnement des professionnels de santé, en renforçant, en particulier, la présence en région ; un quart de ces recrutements portent sur des profils d’ingénieur ; le reste sur les autres métiers de la société » lit-on plus loin.
Avec cette nouvelle ampleur, l’entreprise peut continuer à penser à son développement international en envisageant des implantations et des acquisitions. Signe d’une entrée dans la cour des grands.
Cette valorisation ne dépend pas uniquement d’une stratégie de recherche de financement. Au total depuis son lancement en 2013, l’entreprise a bouclé 900 millions d’euros de financement. « Pour son dernier tour de table, il a préféré se tourner vers deux de ses investisseurs historiques, Eurazeo et Bpifrance, ce qui est plutôt vu d’un bon œil pour une entreprise qui joue à plein la carte de la souveraineté européenne. L’enveloppe de 500 millions d’euros comprend une part minoritaire de dette » continue le quotidien.
L’entreprise est également rentable avec un chiffre d’affaires estimé entre 180 et 360 millions d’euros annuels. « Cette rentrée d’argent frais va lui permettre d’accélérer son développement, à commencer sur le plan des ressources humaines, qui constitue, pour M. Niox-Chateau, « la première des priorités » : 2 500 personnes travaillent actuellement chez Doctolib, sur les trois marchés que sont la France (50 millions de patients utilisateurs), l’Allemagne (10 millions d’utilisateurs) et l’Italie, qui vient d’être lancé. Et 3 500 nouveaux collaborateurs doivent rejoindre l’équipe dans les cinq prochaines années, dont 700 dès cette année. La moitié des recrutements visent à améliorer l’accompagnement des professionnels de santé, en renforçant, en particulier, la présence en région ; un quart de ces recrutements portent sur des profils d’ingénieur ; le reste sur les autres métiers de la société » lit-on plus loin.
Avec cette nouvelle ampleur, l’entreprise peut continuer à penser à son développement international en envisageant des implantations et des acquisitions. Signe d’une entrée dans la cour des grands.