Il y aura bien 120 000 fonctionnaires en moins d’ici 2022 De ce point de vue le cap est maintenu a affirmé le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Action et des comptes publics, Olivier Dussopt. Un objectif mis en avant par Emmanuel Macron en campagne qui nécessite surtout un effort de la part des collectivités locales. « Nous leur avions dit de ne pas augmenter de plus de 1,2 %, elles sont plutôt autour de 1 % [en 2018], a indiqué le secrétaire d'État, sur BFM Business. Quand les collectivités maîtrisent à ce point leurs dépenses de fonctionnement, ça se traduit mécaniquement par 13-14-15.000 postes en moins […] et ce n'est pas la première année qu'elles font cela » rapporte Le Figaro.
« Emmanuel Macron a fixé comme objectif une réduction de 50.000 postes « équivalents temps plein » dans la fonction publique d'État et 70.000 postes dans la fonction publique territoriale. Si les communes, départements et régions affichent des résultats meilleurs que prévu, ce n'est pas le cas de l'État et de ses opérateurs. En effet, les suppressions de postes y restent très faibles. En 2018, les effectifs n'ont été réduits que de 1660 postes. L'objectif pour 2019 s'élève à 4 164 suppressions. Un rythme incompatible avec l'objectif de 50.000 suppressions de postes d'ici à 2022 » poursuit le quotidien. C’est pour cette raison que le Secrétaire d’Etat a eu la délicate tâche d’annoncer qu’entre 2020 et la fin du mandat, il faudra supprimer 15 000 postes chaque année.
Ces déclarations de suppression de postes sont toujours ma reçues politiquement. D’autant qu’avec des chiffres importants comme ceux-ci, le gouvernement a cherché à être rassurant. « Vous verrez que cet objectif sera tenu, mais avec une condition, une priorité essentielle pour nous, c'est le maintien de la qualité du service et le maintien de l'accès sur le territoire aux services publics », assure Olivier Dussopt. Une déclaration qui va avoir du mal à convaincre les oppositions et les militants des « Gilets Jaunes » qui critiquent l’affaiblissement des services publics. Pour être convaincant, l’exécutif doit expliquer sa méthode pour faire aussi bien avec moins d’effectifs.
« Emmanuel Macron a fixé comme objectif une réduction de 50.000 postes « équivalents temps plein » dans la fonction publique d'État et 70.000 postes dans la fonction publique territoriale. Si les communes, départements et régions affichent des résultats meilleurs que prévu, ce n'est pas le cas de l'État et de ses opérateurs. En effet, les suppressions de postes y restent très faibles. En 2018, les effectifs n'ont été réduits que de 1660 postes. L'objectif pour 2019 s'élève à 4 164 suppressions. Un rythme incompatible avec l'objectif de 50.000 suppressions de postes d'ici à 2022 » poursuit le quotidien. C’est pour cette raison que le Secrétaire d’Etat a eu la délicate tâche d’annoncer qu’entre 2020 et la fin du mandat, il faudra supprimer 15 000 postes chaque année.
Ces déclarations de suppression de postes sont toujours ma reçues politiquement. D’autant qu’avec des chiffres importants comme ceux-ci, le gouvernement a cherché à être rassurant. « Vous verrez que cet objectif sera tenu, mais avec une condition, une priorité essentielle pour nous, c'est le maintien de la qualité du service et le maintien de l'accès sur le territoire aux services publics », assure Olivier Dussopt. Une déclaration qui va avoir du mal à convaincre les oppositions et les militants des « Gilets Jaunes » qui critiquent l’affaiblissement des services publics. Pour être convaincant, l’exécutif doit expliquer sa méthode pour faire aussi bien avec moins d’effectifs.