Infrastructures, écosystème, formation et éducation. Ce sont sur ces critères, que repose le palmarès 2016 des meilleures villes françaises pour entreprendre. Ce dernier est établi par L'Entreprise-L’Expansion et Ellisphere. Cette année, comme depuis quatre ans, c’est Lyon qui occupe la première place « des villes les plus favorables à la création d'entreprise » dans la catégorie 500 000 habitants et plus.
Pour dresser ce classement, 131 agglomérations de plus de 70 000 habitants à plus de 500 000, ont été passées au crible. Paris et la région Île de France sont hors-jeu : la capitale et sa région, « concentrent » en effet, « tous les atouts. » Pour les villes de plus de 500 000 habitants, Lyon est la plus business friendly. Cette année encore, la pertinence en termes d'attractivité pour les entreprises, comme la formation, les infrastructures ou l’écosystème, place la métropole lyonnaise en tête.
À Lyon métropole, 17 000 nouveaux établissements ont été enregistrés chaque année entre 2008 et 2012. « Un renouvellement qui constitue un socle pour les emplois de demain », selon L'Entreprise-L’Expansion et Ellisphere. Dans cette catégorie de villes, viennent ensuite Lille, Toulouse et Bordeaux. Pour les infrastructures, Marseille apparaît en troisième position, après Lille et Lyon. Pour les agglomérations de 200 000 à 500 000 habitants, Rennes arrive en premier, puis Montpellier, Grenoble et Strasbourg.
Plus précisément, les critères de ce palmarès s’attachent à définir l’écosystème, la formation et les infrastructures. L’écosystème vise à mettre en avant le nombre de « Clusters, d’incubateurs publics, de pôles de compétitivité, de technopoles, de pépinières d'entreprises, French Tech, bassin d'emploi », selon L’Express.
Quant à la formation, sont pris en compte, le « nombre d'étudiants, de formations proposées et de grandes écoles membres de la Confédération des grandes écoles, le nombre de formations à l'entrepreneuriat, le pourcentage de diplômés créateurs d'entreprises, Juniors Etudes, incubateurs grandes écoles et universités, nombre d'entreprises créées par an dans ces incubateurs. »
Pour les infrastructures, sont évaluées la « durée du trajet en train pour relier Paris, la présence de ports maritimes et fluviaux, la présence d'aéroports, la présence d'autoroutes reliant la ville, les énergies renouvelables. » Cette année encore, la métropole lyonnaise semble avoir coché toutes les cases.
Pour dresser ce classement, 131 agglomérations de plus de 70 000 habitants à plus de 500 000, ont été passées au crible. Paris et la région Île de France sont hors-jeu : la capitale et sa région, « concentrent » en effet, « tous les atouts. » Pour les villes de plus de 500 000 habitants, Lyon est la plus business friendly. Cette année encore, la pertinence en termes d'attractivité pour les entreprises, comme la formation, les infrastructures ou l’écosystème, place la métropole lyonnaise en tête.
À Lyon métropole, 17 000 nouveaux établissements ont été enregistrés chaque année entre 2008 et 2012. « Un renouvellement qui constitue un socle pour les emplois de demain », selon L'Entreprise-L’Expansion et Ellisphere. Dans cette catégorie de villes, viennent ensuite Lille, Toulouse et Bordeaux. Pour les infrastructures, Marseille apparaît en troisième position, après Lille et Lyon. Pour les agglomérations de 200 000 à 500 000 habitants, Rennes arrive en premier, puis Montpellier, Grenoble et Strasbourg.
Plus précisément, les critères de ce palmarès s’attachent à définir l’écosystème, la formation et les infrastructures. L’écosystème vise à mettre en avant le nombre de « Clusters, d’incubateurs publics, de pôles de compétitivité, de technopoles, de pépinières d'entreprises, French Tech, bassin d'emploi », selon L’Express.
Quant à la formation, sont pris en compte, le « nombre d'étudiants, de formations proposées et de grandes écoles membres de la Confédération des grandes écoles, le nombre de formations à l'entrepreneuriat, le pourcentage de diplômés créateurs d'entreprises, Juniors Etudes, incubateurs grandes écoles et universités, nombre d'entreprises créées par an dans ces incubateurs. »
Pour les infrastructures, sont évaluées la « durée du trajet en train pour relier Paris, la présence de ports maritimes et fluviaux, la présence d'aéroports, la présence d'autoroutes reliant la ville, les énergies renouvelables. » Cette année encore, la métropole lyonnaise semble avoir coché toutes les cases.