Source : Pixabay, image libre de droits.
« Les rues de La Havane, d'ordinaire si agitées, étaient dimanche quasi désertes après le décès vendredi de Fidel Castro à l'âge de 90 ans. Sur leurs devantures, de nombreux magasins et restaurants d'État arborent des drapeaux cubains » explique un article en ligne du journal du Figaro, qui ajoute : « Aucune manifestation officielle ne s'est déroulée dans la journée. Pour la première fois en treize ans, les Dames en blanc, un des principaux groupes d'opposition tolérés sur l'île, ont même annulé leur marche hebdomadaire. »
Une cérémonie en trois actes
« Une première cérémonie de recueillement est programmée lundi sur l'emblématique Place de la Révolution à La Havane », ajoute l’article qui précise que « depuis samedi, les accès à la place sont barrés par la police. Sur cette vaste esplanade de 72.000 m2, le «Lider maximo» avait pour habitude de prononcer d'aussi tonitruants qu'interminables discours contre le voisin «impérialiste» américain. »
Côté nord de la place, « une photo géante du célèbre «barbudo» couvre déjà la façade du bâtiment au style très stalinien de la Bibliothèque nationale. La foule suivra un long parcours débouchant devant une estrade. »
L'urne funéraire de Fidel Castro, « dont la dépouille a été incinérée samedi, sera disposée devant le mémorial José Marti. La cérémonie prendra fin mardi soir à 19 heures avec le départ d'une procession pour Santiago. »
De mercredi à samedi, « les cendres de Fidel Castro seront transférées de La Havane à Santiago. Elles emprunteront en sens inverse le trajet suivi 58 ans auparavant par la «Caravane de la victoire», à bord de laquelle Fidel Castro était entré en triomphateur le 8 janvier 1959 à La Havane. »
Pendant quatre jours, « la procession va parcourir un millier de kilomètres et traverser 13 des 15 provinces cubaines. L'itinéraire évitera les principaux axes, rallongeant le trajet de 100 km par rapport au tracé de l'autoroute centrale. Un million de Cubains sont attendus sur cette route. À Santiago, les cendres seront accueillies pour une nouvelle «cérémonie de masse» sur la place Antonio Maceo. » Mais le jour primordial de ces neuf jours de deuil est attendu dimanche avec les funérailles du dirigeant cubain.
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
Côté nord de la place, « une photo géante du célèbre «barbudo» couvre déjà la façade du bâtiment au style très stalinien de la Bibliothèque nationale. La foule suivra un long parcours débouchant devant une estrade. »
L'urne funéraire de Fidel Castro, « dont la dépouille a été incinérée samedi, sera disposée devant le mémorial José Marti. La cérémonie prendra fin mardi soir à 19 heures avec le départ d'une procession pour Santiago. »
De mercredi à samedi, « les cendres de Fidel Castro seront transférées de La Havane à Santiago. Elles emprunteront en sens inverse le trajet suivi 58 ans auparavant par la «Caravane de la victoire», à bord de laquelle Fidel Castro était entré en triomphateur le 8 janvier 1959 à La Havane. »
Pendant quatre jours, « la procession va parcourir un millier de kilomètres et traverser 13 des 15 provinces cubaines. L'itinéraire évitera les principaux axes, rallongeant le trajet de 100 km par rapport au tracé de l'autoroute centrale. Un million de Cubains sont attendus sur cette route. À Santiago, les cendres seront accueillies pour une nouvelle «cérémonie de masse» sur la place Antonio Maceo. » Mais le jour primordial de ces neuf jours de deuil est attendu dimanche avec les funérailles du dirigeant cubain.
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