Si la France a rapidement été éliminée de la compétition il y a quatre ans, lors de la dernière Coupe du monde de football en Afrique du Sud, on aimerait que cela ne se reproduise pas. Pas plus que l’affligeant événement du bus de Knysna. D’ailleurs, à la manière de César, Adidas l’a désormais fait compresser…
L’Américain Nike étant aujourd'hui le sponsor officiel de l’équipe de France, on peut voir cela comme une petite vengeance d’Adidas. Dans tous les cas, cet évènement a fait grand bruit sur les réseaux sociaux, qu’Adidas a massivement investi. En gros, aujourd'hui, le budget de sa communication est cinq fois plus élevé qu’en 2010.
La Coupe du monde de football est littéralement une manne pour les équipementiers du sport et les multinationales, Nike, Puma et Adidas, pour ne pas les citer. Ainsi, après une année 2013, « moyenne », avec quand même, un chiffre d’affaire de 14, 5 milliards d’euros, la société allemande Adidas espère, avec le Mondial, une croissance comprise entre 7 et 8%, soit 1, 2 milliards d’euros grâce aux ricochets générés par la Coupe du monde.
Nike est numéro un, devant Adidas. Et là aussi, la compétition s’annonce serrée. Si Adidas est le partenaire officiel du Mondial, elle devra contrer l'agressivité de Nike, leader aujourd’hui dans le domaine du football, et aussi, tirer son épingle du jeu face à Puma, entreprise également allemande, et numéro trois. La guerre des équipementiers n’est pas terminée, elle ne fait que commencer.
Ainsi, pour la Coupe du monde, Nike est le sponsor de dix équipes, et non des moindres : le Brésil s’il vous plaît, le Royaume-Uni et la France. Adidas en équipe neuf. Parmi elles, l’Allemagne et l’Espagne. En mettant leurs œufs dans de nombreux paniers, Adidas et Nike ont donc toutes les chances de remporter la compétition. C’est plus tendu en revanche pour Puma, qui comptabilise huit équipes à son actif, dont l'Italie et le Cameroun.
Avec 2,4 milliards d'euros de ventes dans le foot l’année dernière, Adidas reste un leader mondial, mêmes si elle se situe derrière Nike. Le secteur des ses chaussures, a connu une baisse : en Europe, et notamment en Allemagne, son bastion, Adidas s’est fait dépasser par Nike. Le Mondial de football est donc une occasion rêvée pour lancer des chaussures à crampons les plus performantes possibles.
Ainsi, Nike a spécialement créé sa Magista une chaussure montante et tricotée, incluant la technologie « Flyknite ». Chez Adidas, on a réfléchi à un ensemble de modèles, au nom guerrier de « battle pack » dont l’un est considéré comme le plus léger du monde. Puma, livre sa chaussure EvoPower, sensée reproduire la force d’un tir envoyé pied nu.
Cette année, avec la Coupe du monde, le marché du football devrait atteindre un total de 12,5 milliards d'euros, soit 8 % de plus que l’année dernière. Et c’est sans compter toutes les retombées, les ventes de maillots et ballons. Ça, c’est l’effet Mondial.
L’Américain Nike étant aujourd'hui le sponsor officiel de l’équipe de France, on peut voir cela comme une petite vengeance d’Adidas. Dans tous les cas, cet évènement a fait grand bruit sur les réseaux sociaux, qu’Adidas a massivement investi. En gros, aujourd'hui, le budget de sa communication est cinq fois plus élevé qu’en 2010.
La Coupe du monde de football est littéralement une manne pour les équipementiers du sport et les multinationales, Nike, Puma et Adidas, pour ne pas les citer. Ainsi, après une année 2013, « moyenne », avec quand même, un chiffre d’affaire de 14, 5 milliards d’euros, la société allemande Adidas espère, avec le Mondial, une croissance comprise entre 7 et 8%, soit 1, 2 milliards d’euros grâce aux ricochets générés par la Coupe du monde.
Nike est numéro un, devant Adidas. Et là aussi, la compétition s’annonce serrée. Si Adidas est le partenaire officiel du Mondial, elle devra contrer l'agressivité de Nike, leader aujourd’hui dans le domaine du football, et aussi, tirer son épingle du jeu face à Puma, entreprise également allemande, et numéro trois. La guerre des équipementiers n’est pas terminée, elle ne fait que commencer.
Ainsi, pour la Coupe du monde, Nike est le sponsor de dix équipes, et non des moindres : le Brésil s’il vous plaît, le Royaume-Uni et la France. Adidas en équipe neuf. Parmi elles, l’Allemagne et l’Espagne. En mettant leurs œufs dans de nombreux paniers, Adidas et Nike ont donc toutes les chances de remporter la compétition. C’est plus tendu en revanche pour Puma, qui comptabilise huit équipes à son actif, dont l'Italie et le Cameroun.
Avec 2,4 milliards d'euros de ventes dans le foot l’année dernière, Adidas reste un leader mondial, mêmes si elle se situe derrière Nike. Le secteur des ses chaussures, a connu une baisse : en Europe, et notamment en Allemagne, son bastion, Adidas s’est fait dépasser par Nike. Le Mondial de football est donc une occasion rêvée pour lancer des chaussures à crampons les plus performantes possibles.
Ainsi, Nike a spécialement créé sa Magista une chaussure montante et tricotée, incluant la technologie « Flyknite ». Chez Adidas, on a réfléchi à un ensemble de modèles, au nom guerrier de « battle pack » dont l’un est considéré comme le plus léger du monde. Puma, livre sa chaussure EvoPower, sensée reproduire la force d’un tir envoyé pied nu.
Cette année, avec la Coupe du monde, le marché du football devrait atteindre un total de 12,5 milliards d'euros, soit 8 % de plus que l’année dernière. Et c’est sans compter toutes les retombées, les ventes de maillots et ballons. Ça, c’est l’effet Mondial.