Est-ce une façon de survivre ? De s’isoler ? De se concentrer ? De ne pas craquer ? Le journaliste au Figaro, Quentin Périnel s’est penché sur une nouvelle habitude en passe de devenir un phénomène : au bureau, ceux qui travaillent avec un casque sur les oreilles. S’il n’y a pas de chiffres, dans les faits, les travailleurs casqués sont de plus en plus nombreux. La faute à l’open space ?
On dit qu’en France, l’open space broie les salariés. Du coup, ils sont de plus en plus nombreux à travailler avec un casque sur la tête. Si on peut comprendre la démarche, en revanche, question communication, le port du casque ne facilite pas les échanges. Entrer en contact avec son collègue ou son voisin devient compliqué. Après avoir tenté le langage des signes pendant cinq bonnes minutes, il n'est pas rare de lâcher l’affaire…
Pour le journaliste Quentin Périnel, qui décode les habitudes quotidiennes au bureau, le port du casque est en lien direct avec la génération Y. En menant l’enquête, il en est arrivé à la conclusion suivante : pour entrer en communication avec ses membres, c’est beaucoup plus simple de leur adresser un message via Facebook, ou Gtalk, la messagerie instantanée de Google, voire de leur envoyer un mail (plus préhistorique.) Dans tous les cas, c'est mieux que les aborder en frontal. Du coup, il n’est pas rare, rapporte Quentin Périnel, d’entendre cette petite phrase : « On ne va pas le déranger, il est casqué ! » Autiste, la génération Y ? Ou juste, focus on impact et hyper bosseuse ?
On dit qu’en France, l’open space broie les salariés. Du coup, ils sont de plus en plus nombreux à travailler avec un casque sur la tête. Si on peut comprendre la démarche, en revanche, question communication, le port du casque ne facilite pas les échanges. Entrer en contact avec son collègue ou son voisin devient compliqué. Après avoir tenté le langage des signes pendant cinq bonnes minutes, il n'est pas rare de lâcher l’affaire…
Pour le journaliste Quentin Périnel, qui décode les habitudes quotidiennes au bureau, le port du casque est en lien direct avec la génération Y. En menant l’enquête, il en est arrivé à la conclusion suivante : pour entrer en communication avec ses membres, c’est beaucoup plus simple de leur adresser un message via Facebook, ou Gtalk, la messagerie instantanée de Google, voire de leur envoyer un mail (plus préhistorique.) Dans tous les cas, c'est mieux que les aborder en frontal. Du coup, il n’est pas rare, rapporte Quentin Périnel, d’entendre cette petite phrase : « On ne va pas le déranger, il est casqué ! » Autiste, la génération Y ? Ou juste, focus on impact et hyper bosseuse ?