Dématérialisation, technologie froide et déshumanisée… Ce qui est sûr, c’est que l’Internet et les réseaux sociaux, mais aussi, « la multiplication des services de communication » souligne le journaliste des Échos, entraînent un chamboulement de l’usage que nous avons de nos numéros de téléphone. En effet, aujourd’hui, « les communications passent de plus en plus par les services Internet », selon le quotidien Les Échos. Mais aussi, par des applications qui « permettent de multiplier les numéros. » C’est ainsi que les habitudes évoluent.
Souvent, on a un numéro de portable, et le même, depuis Mathusalem. Un attachement affectif pour certains, sans conséquence pour d’autres. Toujours est-il, ce lien singulier risque de ne pas résister. Et au-delà, les numéros de téléphone de ne pas perdurer. Chat, services de messagerie… Aujourd’hui, sur Messenger (Facebook), Hangout (Google), ou WhatsApp, pour ne citer qu’eux, on s’échange des messages ou des vidéos via Internet. Conséquence, on peut être joint sans forcément donner son numéro de mobile, juste en donnant « son pseudo sur les réseaux sociaux », avance encore Les Échos.
Du coup, c’est la voix que l’on entend moins. D’ailleurs, pour l’ARCEP, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des Postes, « le volume moyen de communications vocales (pour les détenteurs de forfaits) a baissé l'an dernier de 6 minutes. » Surtout, c’est la première fois depuis 2012. Cette baisse, on la remarque facilement dans la sphère privée, mais aussi, dans le monde du travail, « et notamment dans la relation clients. »
Ainsi, « avant, tout le monde voulait des numéros courts, faciles à mémoriser. Maintenant, les entreprises s'adaptent à la façon de communiquer de leurs clients, qui ne passe pas forcément par la voix », explique Jean-David Benichou, Président de la société ViaDialog, spécialisée dans le développement de plates-formes de relation clients pour les entreprises.
Résultat, aujourd’hui, le numéro de téléphone a plus valeur d’identifiant. Et est « de moins en moins », précise Les Échos, « un canal de communication. » De plus, les numéros uniques ont tendance à disparaître au profit de numéros multiples qui permettent de compartimenter les différentes parties de sa vie. Pourtant, rappelle Les Échos, « chez les opérateurs, l'octroi d'un bon numéro, facile à mémoriser, reste un service de luxe, réservé aux VIP. » Profitons-en car cela ne va peut-être pas durer.
Souvent, on a un numéro de portable, et le même, depuis Mathusalem. Un attachement affectif pour certains, sans conséquence pour d’autres. Toujours est-il, ce lien singulier risque de ne pas résister. Et au-delà, les numéros de téléphone de ne pas perdurer. Chat, services de messagerie… Aujourd’hui, sur Messenger (Facebook), Hangout (Google), ou WhatsApp, pour ne citer qu’eux, on s’échange des messages ou des vidéos via Internet. Conséquence, on peut être joint sans forcément donner son numéro de mobile, juste en donnant « son pseudo sur les réseaux sociaux », avance encore Les Échos.
Du coup, c’est la voix que l’on entend moins. D’ailleurs, pour l’ARCEP, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des Postes, « le volume moyen de communications vocales (pour les détenteurs de forfaits) a baissé l'an dernier de 6 minutes. » Surtout, c’est la première fois depuis 2012. Cette baisse, on la remarque facilement dans la sphère privée, mais aussi, dans le monde du travail, « et notamment dans la relation clients. »
Ainsi, « avant, tout le monde voulait des numéros courts, faciles à mémoriser. Maintenant, les entreprises s'adaptent à la façon de communiquer de leurs clients, qui ne passe pas forcément par la voix », explique Jean-David Benichou, Président de la société ViaDialog, spécialisée dans le développement de plates-formes de relation clients pour les entreprises.
Résultat, aujourd’hui, le numéro de téléphone a plus valeur d’identifiant. Et est « de moins en moins », précise Les Échos, « un canal de communication. » De plus, les numéros uniques ont tendance à disparaître au profit de numéros multiples qui permettent de compartimenter les différentes parties de sa vie. Pourtant, rappelle Les Échos, « chez les opérateurs, l'octroi d'un bon numéro, facile à mémoriser, reste un service de luxe, réservé aux VIP. » Profitons-en car cela ne va peut-être pas durer.