Les tensions ont ravivé les souvenirs douloureux des bombardements du Liban par Israël en 2006. L’escalade entre l’armée israélienne et le mouvement politique et militaire libanais du Hezbollah a fait craindre un embrasement de la région. Tout a débuté par le survol de la Syrie puis de la banlieue sud de Beyrouth par des drones israélien. Le mouvement politique et militaire du Hezbollah a dénoncé la présence de deux drones israéliens qui se sont écrasés sur ce quartier qu’il contrôle. L’un aurait explosé quand l’autre aurait été neutralisé une fois au sol. Une violation des résolutions de l’ONU par Israël qui a vivement été condamnée par les autorités du Liban.
« Paris "multiplie les contacts dans la région" du Proche-Orient "en vue d'éviter l'escalade" à la frontière sud du Liban, où des échanges de tirs ont lieu entre le mouvement chiite Hezbollah et l'armée israélienne, selon un communiqué du ministère français des Affaires étrangères publié le 1erseptembre. Le Premier ministre libanais Saad Hariri avait réclamé plus tôt ce même jour l'"intervention" de la France et des Etats-Unis face à cette montée des tensions que Paris affirme suivre "avec préoccupation" » résume BFMTV.
Une déclaration de la France qui fait suite à des échanges de missiles entre le Hezbollah et l’armée israélienne. Chacun assurant qu’il s’agissait d’une réponse à des tirs essuyés par l’autre belligérant. En 2006, plus de mille morts avaient été déplorés suite aux bombardements d’Israël et aux réponses du Hezbollah qui a envoyé des missiles sur le territoire d’Israël et est parvenu à détruire des chars et blindés de l’armée israélienne. Avec plus de 150 morts côté israélien, cet épisode a été vécu comme une défaite politique et militaire par l’État hébreu.
« Paris "multiplie les contacts dans la région" du Proche-Orient "en vue d'éviter l'escalade" à la frontière sud du Liban, où des échanges de tirs ont lieu entre le mouvement chiite Hezbollah et l'armée israélienne, selon un communiqué du ministère français des Affaires étrangères publié le 1erseptembre. Le Premier ministre libanais Saad Hariri avait réclamé plus tôt ce même jour l'"intervention" de la France et des Etats-Unis face à cette montée des tensions que Paris affirme suivre "avec préoccupation" » résume BFMTV.
Une déclaration de la France qui fait suite à des échanges de missiles entre le Hezbollah et l’armée israélienne. Chacun assurant qu’il s’agissait d’une réponse à des tirs essuyés par l’autre belligérant. En 2006, plus de mille morts avaient été déplorés suite aux bombardements d’Israël et aux réponses du Hezbollah qui a envoyé des missiles sur le territoire d’Israël et est parvenu à détruire des chars et blindés de l’armée israélienne. Avec plus de 150 morts côté israélien, cet épisode a été vécu comme une défaite politique et militaire par l’État hébreu.