Depuis le 14 novembre, les téléphones, tablettes, liseuses et mp3 peuvent être utilisés au décollage et à l’atterrissage des avions de ligne. La décision de la Commission Européenne met fin à une interdiction mystérieuse qui laissait croire qu’on pouvait faire tomber un avion par l’envoi d'un sms ou la réception d’appels surtaxés.
Le lendemain de cette première levée d’interdiction, la même Commission Européenne autorise les compagnies aériennes à développer des réseaux 3G et 4G dans la cabine des avions. Auparavant, seul le réseau 2G était autorisé pour communiquer à bord et les connexions à internet en vol étaient quasiment impossibles. La connexion au 3G et 4G dépend des connexions aux satellites, les contraintes posées par les spécificités de la connexion en avion posent quelques problèmes techniques. La rapidité de connexion à bord des avions de transport ne devrait pas être aussi importantes que sur terre ferme, mais pourraient cependant permettre des échanges de données.
La levée de l’autorisation permet aux compagnies de permettre l’utilisation d’internet et des téléphones. La possibilité ou non d’utiliser ses machines dépend toujours en dernier ressort de la réglementation de la compagnie. Fort est à parier que la possibilité de monnayer ces services en développe rapidement l’usage.
Le lendemain de cette première levée d’interdiction, la même Commission Européenne autorise les compagnies aériennes à développer des réseaux 3G et 4G dans la cabine des avions. Auparavant, seul le réseau 2G était autorisé pour communiquer à bord et les connexions à internet en vol étaient quasiment impossibles. La connexion au 3G et 4G dépend des connexions aux satellites, les contraintes posées par les spécificités de la connexion en avion posent quelques problèmes techniques. La rapidité de connexion à bord des avions de transport ne devrait pas être aussi importantes que sur terre ferme, mais pourraient cependant permettre des échanges de données.
La levée de l’autorisation permet aux compagnies de permettre l’utilisation d’internet et des téléphones. La possibilité ou non d’utiliser ses machines dépend toujours en dernier ressort de la réglementation de la compagnie. Fort est à parier que la possibilité de monnayer ces services en développe rapidement l’usage.
Développement de nouvelles technologies
Plusieurs entreprises se sont lancées dans la recherche et le développement de procédés pour remédier aux soucis techniques que cette situation pose. C’est le cas de T-Mobile qui travaille sur de nouvelles technologies pour permettre la connexion aux réseaux LTE habituels. La méthode permettrait de ne pas utiliser les satellites et donc de gagner en rapidité.
Ce procédé pourrait aussi permettre de limiter les coûts de connexion. En effet, les tarifs des connexions aux réseaux 3G et 4G en « itinérance » font très vite grimper les prix et une simple consultation de mails peut coûter cher à l’utilisateur. En restant sur les réseaux LTE, les utilisateurs seront protégés par les régulations d’itinérance de l’Union européenne.
Ce procédé pourrait aussi permettre de limiter les coûts de connexion. En effet, les tarifs des connexions aux réseaux 3G et 4G en « itinérance » font très vite grimper les prix et une simple consultation de mails peut coûter cher à l’utilisateur. En restant sur les réseaux LTE, les utilisateurs seront protégés par les régulations d’itinérance de l’Union européenne.