Bloquer les bloqueurs de pub, le serpent qui se mord la queue ? Pour les médias, et notamment les éditeurs de sites d’information, dont L’Express, il convient d’agir et d’agir vite. En effet, selon certains médias en ligne, ces dispositifs visant à bloquer la publicité sur les sites, menacent directement leur survie.
Pour L'Express, « le succès des adblockers met à mal un équilibre économique déjà fragile. » Raison pour laquelle, cette semaine, les éditeurs lancent une opération à leur encontre et à l'encontre des internautes qui les utilisent. Les adblockers sont des « extensions logicielles chargées de débarrasser les sites Internet d'une partie de leurs publicités. » Depuis peu, ils créent l’engouement auprès des internautes.
Ainsi, les médias en ligne, rassemblés sous la bannière commune de leur association professionnelle, Le Geste, appellent à une semaine sans adblockers. Une démarche logique dans un contexte où « les annonceurs se font rares et les alternatives, des accès payants pour l'essentiel, peinent à donner les résultats espérés », rappelle L’Express. Aujourd’hui, 25% d’internautes sont équipés d'adblockers.
L’idée est de convaincre les internautes que la publicité est nécessaire s’ils souhaitent « continuer à consulter gratuitement une partie de (nos) contenus. » Pour cela, « les médias en ligne vont mettre (les internautes), toute cette semaine, face à leurs responsabilités. » Ainsi, les sites des Échos, du Parisien et de L’Équipe vont adopter cette semaine, les méthodes plutôt radicales du magazine Forbes aux États-Unis, ou de l’allemand Bild : fermer « plus ou moins violemment, la porte à ceux qui ont activé un adblocker sur leur navigateur. »
D’autres médias en ligne, comme L’Express, apparaissent plus nuancés. Ils se contentent en effet d’encourager « leurs lecteurs adblockés à débrayer leur extension, à grands coups de panneaux pédagogiques et de modes d'emploi ad hoc. » Donnant donnant, ces mêmes médias promettent de « diminuer la gêne, incontestable, occasionnée par certains formats publicitaires intrusifs », peut-on lire dans L’Express.
Une semaine pour convaincre. À l’issue de cette semaine, les éditeurs « espèrent qu'ils auront convaincu une partie de leurs lecteurs que les adblockers sont une menace sérieuse, pour les sites de médias mais également pour la pluralité de l’information. » Eux-mêmes devront s'attaquer à une tâche ingrate : remédier aux perturbations engendrées par la publicité sur leurs sites. Des deux côtés, il reste donc du boulot.
Pour L'Express, « le succès des adblockers met à mal un équilibre économique déjà fragile. » Raison pour laquelle, cette semaine, les éditeurs lancent une opération à leur encontre et à l'encontre des internautes qui les utilisent. Les adblockers sont des « extensions logicielles chargées de débarrasser les sites Internet d'une partie de leurs publicités. » Depuis peu, ils créent l’engouement auprès des internautes.
Ainsi, les médias en ligne, rassemblés sous la bannière commune de leur association professionnelle, Le Geste, appellent à une semaine sans adblockers. Une démarche logique dans un contexte où « les annonceurs se font rares et les alternatives, des accès payants pour l'essentiel, peinent à donner les résultats espérés », rappelle L’Express. Aujourd’hui, 25% d’internautes sont équipés d'adblockers.
L’idée est de convaincre les internautes que la publicité est nécessaire s’ils souhaitent « continuer à consulter gratuitement une partie de (nos) contenus. » Pour cela, « les médias en ligne vont mettre (les internautes), toute cette semaine, face à leurs responsabilités. » Ainsi, les sites des Échos, du Parisien et de L’Équipe vont adopter cette semaine, les méthodes plutôt radicales du magazine Forbes aux États-Unis, ou de l’allemand Bild : fermer « plus ou moins violemment, la porte à ceux qui ont activé un adblocker sur leur navigateur. »
D’autres médias en ligne, comme L’Express, apparaissent plus nuancés. Ils se contentent en effet d’encourager « leurs lecteurs adblockés à débrayer leur extension, à grands coups de panneaux pédagogiques et de modes d'emploi ad hoc. » Donnant donnant, ces mêmes médias promettent de « diminuer la gêne, incontestable, occasionnée par certains formats publicitaires intrusifs », peut-on lire dans L’Express.
Une semaine pour convaincre. À l’issue de cette semaine, les éditeurs « espèrent qu'ils auront convaincu une partie de leurs lecteurs que les adblockers sont une menace sérieuse, pour les sites de médias mais également pour la pluralité de l’information. » Eux-mêmes devront s'attaquer à une tâche ingrate : remédier aux perturbations engendrées par la publicité sur leurs sites. Des deux côtés, il reste donc du boulot.