Source : Pixabay, image libre de droits.
Les nouveaux sacs se dressent à côté de la petite maroquinerie qui date de la fin des années 1940 : « avec une première boutique masculine et la présentation de collections spécifiques, le maroquinier repart à la conquête de sa clientèle d'origine » explique un article en ligne du journal Le Figaro.
L’article dresse le décor : « des briquets, des pipes et autres accessoires vintage de fumeur sont exposés sous vitrine dans la nouvelle et première boutique masculine de Longchamp, sise 271, rue Saint-Honoré, à Paris. Clin d'œil au premier métier du maroquinier, avant que les femmes s'en mêlent et dominent le business de ce qui à l'origine était une civette des Grands boulevards. »
L’article dresse le décor : « des briquets, des pipes et autres accessoires vintage de fumeur sont exposés sous vitrine dans la nouvelle et première boutique masculine de Longchamp, sise 271, rue Saint-Honoré, à Paris. Clin d'œil au premier métier du maroquinier, avant que les femmes s'en mêlent et dominent le business de ce qui à l'origine était une civette des Grands boulevards. »
« Un marché longtemps focalisé sur la fonctionnalité »
Jean Cassegrain, le directeur général, assure : «Longtemps, le marché des sacs pour homme a été focalisé sur la fonctionnalité. Ils recherchaient un contenant pratique avec des poches pour leurs effets personnels, tandis que les femmes ont toujours eu une approche plus mode. Dans les placards d'un couple, on trouvait neuf modèles pour elle et un seul pour lui. Cette proportion commence à changer. »
L’article du Figaro retrace les racines familiales, soulignant que « son père, Philippe Cassegrain, toujours en activité et particulièrement attaché à l'activité masculine, se souvient précisément du modèle qui a fait pencher l'activité côté féminin. C'était à la fin des années 70: «’Un client japonais nous demanda de décliner une trousse de toilette en cuir imprimé’. »
L’article ajoute : « lui osa ajouter une sangle: le premier réticule de la maison était né! Plus ou moins à la même époque, il récupère des stocks de toile en Nylon de l'armée qui ne répondaient plus aux nouvelles normes exigées pour les tapis de sol équipant les tentes canadiennes des soldats. Et de les utiliser pour des bagages qui seront les premiers dans cette matière à être lancés sur le marché français. »
Ainsi, « en 1993, il a l'idée géniale du Pliage, ce cabas complice des escapades, qui se glisse plié tout discret au fond d'une valise à l'aller, et permet de rapporter bien des emplettes au retour. Depuis son lancement, il s'en vend un toutes les quinze secondes dans le monde. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
L’article du Figaro retrace les racines familiales, soulignant que « son père, Philippe Cassegrain, toujours en activité et particulièrement attaché à l'activité masculine, se souvient précisément du modèle qui a fait pencher l'activité côté féminin. C'était à la fin des années 70: «’Un client japonais nous demanda de décliner une trousse de toilette en cuir imprimé’. »
L’article ajoute : « lui osa ajouter une sangle: le premier réticule de la maison était né! Plus ou moins à la même époque, il récupère des stocks de toile en Nylon de l'armée qui ne répondaient plus aux nouvelles normes exigées pour les tapis de sol équipant les tentes canadiennes des soldats. Et de les utiliser pour des bagages qui seront les premiers dans cette matière à être lancés sur le marché français. »
Ainsi, « en 1993, il a l'idée géniale du Pliage, ce cabas complice des escapades, qui se glisse plié tout discret au fond d'une valise à l'aller, et permet de rapporter bien des emplettes au retour. Depuis son lancement, il s'en vend un toutes les quinze secondes dans le monde. »
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