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Une start-up qui dépasse le milliard d’euros de valorisation, c’est suffisamment rare pour être souligné. Raison pour laquelle on les désigne par le terme de « licorne ». Un club assez fermé dans lequel Lydia vient de rentrer. Mercredi 8 décembre, les fondateurs de la société ont annoncé avoir levé 100 millions d’euros supplémentaires, suffisamment pour dépasser la barre fatidique. « Un succès de plus pour cette application qui, à son lancement, se spécialisait dans les transferts d’argent entre particuliers – une méthode devenue assez populaire, au point de donner naissance à l’expression « Je te fais un Lydia » (comprendre « Je t’envoie de l’argent via mon téléphone »). L’occasion de revenir sur les mutations de cette application, et surtout ses projets de conquête bancaire, avec son cofondateur et PDG, Cyril Chiche » rapporte L’Obs qui publie une interview .
Si l’itinéraire de l’entreprise est intéressante c’est que ses fondateurs ont adapté au fur et à mesure de leur succès leurs ambitions. Car pour atteindre cette valorisation impressionnante, ils ont transformé leur application d’échange de fonds entre particuliers en une quasi banque. Avec la possibilité de payer avec son téléphone, de commander une carte bancaire, obtenir un prêt à la consommation ou même investir en bourse, Lydia est entré en concurrence avec les établissements bancaires traditionnels. « Il y a quatre ans, nous n’avions aucune idée que Lydia ressemblerait à ça aujourd’hui. Pour autant, il y a bien une direction que nous suivons depuis le début : ressembler à la banque du futur. Il ne s’agit pas de remplacer les banques, mais plutôt de révolutionner les services bancaires. Par exemple, si Amazon a transformé la distribution, le numéro deux de l’e-commerce aux USA n’est autre que le traditionnel Walmart. Ce sera pareil dans la banque : le mobile impose une révolution profonde, et on n’en est qu’au début » confie l’entrepreneur au magazine.
Lire en intégralité l’interview de Cyril Chiche sur le site de L’Obs
Si l’itinéraire de l’entreprise est intéressante c’est que ses fondateurs ont adapté au fur et à mesure de leur succès leurs ambitions. Car pour atteindre cette valorisation impressionnante, ils ont transformé leur application d’échange de fonds entre particuliers en une quasi banque. Avec la possibilité de payer avec son téléphone, de commander une carte bancaire, obtenir un prêt à la consommation ou même investir en bourse, Lydia est entré en concurrence avec les établissements bancaires traditionnels. « Il y a quatre ans, nous n’avions aucune idée que Lydia ressemblerait à ça aujourd’hui. Pour autant, il y a bien une direction que nous suivons depuis le début : ressembler à la banque du futur. Il ne s’agit pas de remplacer les banques, mais plutôt de révolutionner les services bancaires. Par exemple, si Amazon a transformé la distribution, le numéro deux de l’e-commerce aux USA n’est autre que le traditionnel Walmart. Ce sera pareil dans la banque : le mobile impose une révolution profonde, et on n’en est qu’au début » confie l’entrepreneur au magazine.
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