Le Saint des Saints ? Non, ni le fin du fin, mais la Crème de la crème ! Un service bien nommé. Il met en contact des étudiants de grandes écoles françaises, avec des personnes privées ou des entreprises. Selon le principe de l’offre et de la demande, les étudiants d'écoles prestigieuses se mettent en quatre pour aider leur prochain. En plus, c’est simplissime : un seul SMS suffit. On peut alors soumettre son business model à un étudiant de l’ESSEC, se faire conseiller par un élève de HEC, poser des questions d’ordre marketing à un autre de l’EDHEC, faire revoir sa copie par un X…
Dans un esprit collaboratif et participatif, ce service à la carte a été imaginé par des étudiants de grandes écoles. Mise en place le mois dernier, la plateforme dédiée à ces échanges de bons procédés regroupe déjà une centaine d’étudiants. « Avec ce site, on fait profiter les particuliers et les entreprises de toute la France de notre réseau », explique à 20 Minutes.fr Théo Dorp, étudiant à l’EDHEC, l’École des hautes études commerciales, et initiateur du projet. De quoi faire exploser l'écosystème ou la bulle des grandes écoles, « très compliquée à infiltrer » précise t-il à 20 Minutes.fr.
Dans la grande foire aux questions - pointues - Crème de la crème sert d’intermédiaire. Tout le monde y gagne. Si les tarifs sont attractifs, les étudiants « n’ont pas encore la valeur du marché mais ils ont les compétences», souligne Théo Dorp. Le montant des prestations est fixé au cas par cas et Crème de la crème touche une commission. L’esprit est celui de Magic, un service américain sur mesure pour à peu près tout et n’importe quoi. Si le domaine est prometteur, en plein boum, Crème de la crème se positionne sur un créneau novateur. Celui des cerveaux et des têtes bien faites de Sciences Po, de HEC ou de Polytechnique, contrairement aux autres sites de services à la demande - Majordome, Toutcequejeveux - dont les requêtes sont plus basiques. Davantage proches de celles que l’on ferait à un service de conciergerie : trouver des places de concert, une perceuse électrique, faire livrer des fleurs… La prochaine étape de Crème de la crème : le lancement d'une application mobile. Elle est prévue à l'été, au lieu du SMS actuel.
Dans un esprit collaboratif et participatif, ce service à la carte a été imaginé par des étudiants de grandes écoles. Mise en place le mois dernier, la plateforme dédiée à ces échanges de bons procédés regroupe déjà une centaine d’étudiants. « Avec ce site, on fait profiter les particuliers et les entreprises de toute la France de notre réseau », explique à 20 Minutes.fr Théo Dorp, étudiant à l’EDHEC, l’École des hautes études commerciales, et initiateur du projet. De quoi faire exploser l'écosystème ou la bulle des grandes écoles, « très compliquée à infiltrer » précise t-il à 20 Minutes.fr.
Dans la grande foire aux questions - pointues - Crème de la crème sert d’intermédiaire. Tout le monde y gagne. Si les tarifs sont attractifs, les étudiants « n’ont pas encore la valeur du marché mais ils ont les compétences», souligne Théo Dorp. Le montant des prestations est fixé au cas par cas et Crème de la crème touche une commission. L’esprit est celui de Magic, un service américain sur mesure pour à peu près tout et n’importe quoi. Si le domaine est prometteur, en plein boum, Crème de la crème se positionne sur un créneau novateur. Celui des cerveaux et des têtes bien faites de Sciences Po, de HEC ou de Polytechnique, contrairement aux autres sites de services à la demande - Majordome, Toutcequejeveux - dont les requêtes sont plus basiques. Davantage proches de celles que l’on ferait à un service de conciergerie : trouver des places de concert, une perceuse électrique, faire livrer des fleurs… La prochaine étape de Crème de la crème : le lancement d'une application mobile. Elle est prévue à l'été, au lieu du SMS actuel.