Chez Facebook, on est remonté. On ne sait pas si Mark Zuckerberg, le boss de Facebook a digéré son échec : il n’a pas réussi à racheter Snapchat, l’application de partage de photos et de vidéos en ligne. Pourtant, ce sont trois milliards de dollars qu’il aurait mis sur la table. S’il n’a pas pu mettre la start-up Snapchat dans son escarcelle, il aurait personnellement suivi la conception d'une application concurrente, Slingshot. Slingshot, permet de s'envoyer des messages qui s'auto-détruisent. L'application a été mise sur le marché en juin dernier. Comme Snapchat, elle est capable de diffuser des photos et des vidéos avant de disparaître. D’après le Financial Times, l’application TapTalk aurait inspiré la mise au point de Slingshot.
La guerre des messages éphémères fait donc rage. Pour Facebook, c’est l’affront : Snapchat est très appréciée des jeunes. Cette cible s’érode chez Facebook. Cette dernière essaye de se réapproprier une audience d’adolescents, de moins en moins actifs sur le réseau social. Du coup, Facebook, le géant de Menlo Park en Californie, imite copieusement son concurrent Snapchat. Les brain storming redoublent à coup de hackathon. Dans le jargon Facebook, les hackathon sont des « réunions de développeurs.» Poke a ainsi vu le jour. Mais cette application est très vite tombée aux oubliettes.
Aujourd’hui, la conception d’un concurrent à Snapchat est une affaire sérieuse. Son développement a été confié au Creative Labs de Facebook. Cet incubateur est composé d’une toute nouvelle équipe chargée de développer des concepts innovants pour les mobiles. Ainsi, le Creative Labs est à l’origine de Paper, un agrégateur d'actualités qui concurrence Flipboard. Malgré tout, Paper a du mal à sortir du lot.
Chez Facebook, le grand chantier pour les trois années à venir, est de construire de « nouvelles expériences de partage », expliquait il y a quelques mois, Mark Zuckerberg. Autrement dit, développer sa présence sur mobile, ce qui suit son cours : en début d’année, ce marché représentait 1,33 milliard de dollars, soit 59% du chiffre d'affaires de Facebook. Pour continuer à s’imposer, Facebook souhaite acquérir une nouvelle audience, augmenter le nombre de ses utilisateurs. Pour cela, le réseau social planche sur des applications capables de répondre aux nouveaux usages... et de capter à nouveau les jeunes.
La guerre des messages éphémères fait donc rage. Pour Facebook, c’est l’affront : Snapchat est très appréciée des jeunes. Cette cible s’érode chez Facebook. Cette dernière essaye de se réapproprier une audience d’adolescents, de moins en moins actifs sur le réseau social. Du coup, Facebook, le géant de Menlo Park en Californie, imite copieusement son concurrent Snapchat. Les brain storming redoublent à coup de hackathon. Dans le jargon Facebook, les hackathon sont des « réunions de développeurs.» Poke a ainsi vu le jour. Mais cette application est très vite tombée aux oubliettes.
Aujourd’hui, la conception d’un concurrent à Snapchat est une affaire sérieuse. Son développement a été confié au Creative Labs de Facebook. Cet incubateur est composé d’une toute nouvelle équipe chargée de développer des concepts innovants pour les mobiles. Ainsi, le Creative Labs est à l’origine de Paper, un agrégateur d'actualités qui concurrence Flipboard. Malgré tout, Paper a du mal à sortir du lot.
Chez Facebook, le grand chantier pour les trois années à venir, est de construire de « nouvelles expériences de partage », expliquait il y a quelques mois, Mark Zuckerberg. Autrement dit, développer sa présence sur mobile, ce qui suit son cours : en début d’année, ce marché représentait 1,33 milliard de dollars, soit 59% du chiffre d'affaires de Facebook. Pour continuer à s’imposer, Facebook souhaite acquérir une nouvelle audience, augmenter le nombre de ses utilisateurs. Pour cela, le réseau social planche sur des applications capables de répondre aux nouveaux usages... et de capter à nouveau les jeunes.