Un personnage de Minecraft
Pour le fondateur du jeu vidéo «Minecraft», plus besoin de descendre dans la mine ! Le Suédois Markus Persson a rencontré un succès phénoménal avec son jeu. Ce dernier consiste à extraire des matériaux du sol, du fer, du lapis-lazuli, du charbon, de l’argile, des diamants et de les transformer en différents objets comme des wagons, des pots de fleurs, des fours. Il s’agit également de construire toutes sortes de bâtiments. Assez rapidement, des options à plusieurs et «survie» ont été ajoutées. Pour ce mode «survie», il faut éviter de se faire attraper par des monstres. Les mécanismes créatifs sont simples mais abondants et le monde de «Minecraft» est perçu par les joueurs, rapidement regroupés en communauté, comme un immense espace de liberté.
Créé il y a cinq ans en Suède, sa trajectoire est fulgurante. Aujourd’hui, des millions de joueurs à travers le monde, creusent, puis construisent des univers de blocs en 3D. Le rachat annoncé le 15 septembre dernier de la société suédoise qui l’édite, Mojang, par Microsoft, représente l’avènement de cette success story. Une histoire en or, qui fait fantasmer bien des développeurs de jeux vidéo. «Minecraft», ce sont en effet plus de seize millions d'exemplaires vendus sur PC et Mac, plus les versions pour iOs et Android. À cela, il convient d'ajouter les déclinaisons sur consoles.
Résultat, plus de 54 millions d’exemplaires ont été vendus en cinq ans. Il y a quatre ans, le jeu était téléchargé jusqu'à 20 000 fois chaque jour. Le tout, par bouche à oreille, et sans budget publicitaire, ce qui reste une exception. Consécration, cette année, l’identité graphique de «Minecraft » se retrouve au générique des Simpsons. Autant dire, son fondateur, Markus Persson peut couler des jours tranquilles à l’abri du besoin. À plus forte raison depuis que Microsoft, le géant de l'industrie du jeu vidéo a racheté son studio !
Créé il y a cinq ans en Suède, sa trajectoire est fulgurante. Aujourd’hui, des millions de joueurs à travers le monde, creusent, puis construisent des univers de blocs en 3D. Le rachat annoncé le 15 septembre dernier de la société suédoise qui l’édite, Mojang, par Microsoft, représente l’avènement de cette success story. Une histoire en or, qui fait fantasmer bien des développeurs de jeux vidéo. «Minecraft», ce sont en effet plus de seize millions d'exemplaires vendus sur PC et Mac, plus les versions pour iOs et Android. À cela, il convient d'ajouter les déclinaisons sur consoles.
Résultat, plus de 54 millions d’exemplaires ont été vendus en cinq ans. Il y a quatre ans, le jeu était téléchargé jusqu'à 20 000 fois chaque jour. Le tout, par bouche à oreille, et sans budget publicitaire, ce qui reste une exception. Consécration, cette année, l’identité graphique de «Minecraft » se retrouve au générique des Simpsons. Autant dire, son fondateur, Markus Persson peut couler des jours tranquilles à l’abri du besoin. À plus forte raison depuis que Microsoft, le géant de l'industrie du jeu vidéo a racheté son studio !