Le scénario a des airs de déjà-vu. « Un convoyeur de fonds, âgé de 28 ans, a disparu ce lundi matin à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) avec un fourgon rempli d’argent. Alors que deux collègues pénétraient dans une agence, il était resté au volant. A leur retour, le fourgon et le chauffeur avaient disparu. Le véhicule a été retrouvé à 500 mètres, quelques rues plus loin sans le convoyeur, les portes ouvertes et sans l’argent. Soixante sacs remplis de billets de banque manquaient à l’appel » raconte Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Des éléments qui rappellent évidemment le coup monté par Tony Musulin en novembre 2009. « « Cet employé de la société Loomis a déposé ses collègues sur un point de distribution avant de partir au volant du véhicule », précise une source proche de l’affaire. Estimé dans un premier temps à 3 millions d’euros, le montant du préjudice a été réévalué à 1 million d’euros mais le doute persiste sur la somme exacte. Les convoyeurs de Loomis étaient en effet en début de tournée » continue le quotidien.
D’après les sources policières du journal, tant que le convoyeur n’a pas été retrouvé il est difficile d’affirmer qu’il s’agit à 100% d’un cas similaire. La piste d’un braquage ou d’une menace du convoyeur n’est pas complètement écartée. « Toutefois, les témoignages recueillis laissent penser que le conducteur du fourgon a bien redémarré seul, sans contrainte particulière. Pour les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme de Paris, chargés de la suite des investigations, toutes les pistes restaient ouvertes. De bonne source, le convoyeur disparu était considéré comme « quelqu’un de bien sous tous rapports », également bien noté par son employeur » poursuit l’article. Musulin de son coté était resté en cavale pendant dix jours avant de se rendre à la police et être jugé. Il est sorti de prison en 2013.
Des éléments qui rappellent évidemment le coup monté par Tony Musulin en novembre 2009. « « Cet employé de la société Loomis a déposé ses collègues sur un point de distribution avant de partir au volant du véhicule », précise une source proche de l’affaire. Estimé dans un premier temps à 3 millions d’euros, le montant du préjudice a été réévalué à 1 million d’euros mais le doute persiste sur la somme exacte. Les convoyeurs de Loomis étaient en effet en début de tournée » continue le quotidien.
D’après les sources policières du journal, tant que le convoyeur n’a pas été retrouvé il est difficile d’affirmer qu’il s’agit à 100% d’un cas similaire. La piste d’un braquage ou d’une menace du convoyeur n’est pas complètement écartée. « Toutefois, les témoignages recueillis laissent penser que le conducteur du fourgon a bien redémarré seul, sans contrainte particulière. Pour les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme de Paris, chargés de la suite des investigations, toutes les pistes restaient ouvertes. De bonne source, le convoyeur disparu était considéré comme « quelqu’un de bien sous tous rapports », également bien noté par son employeur » poursuit l’article. Musulin de son coté était resté en cavale pendant dix jours avant de se rendre à la police et être jugé. Il est sorti de prison en 2013.