Une très large majorité continue à soutenir notre armée, et c’est pour cette raison que son sort l’inquiète. « Pour 89% des personnes interrogées, « continuer à commémorer » le 11 novembre plus d’un siècle après la fin du conflit mondial est justifié. Pour 75% d’entre eux, l’idée de patriotisme a encore un sens aujourd’hui. Le résultat est également partagé chez les sympathisants de droite et de gauche. 76% des personnes interrogées déclarent être elles-mêmes patriotes. La connotation du mot, longtemps confondu avec le nationalisme, n’effraie plus. L’adhésion s’accroît avec l’âge : 59% des 18 - 24 ans se disent patriotes contre 86% des plus de 65 ans » rapporte Le Figaro, qui publie les conclusions de l’enquête Odoxa à ce sujet .
« «La guerre en Ukraine est venue renforcer l’attachement des Français à leur armée. Elle est souvent perçue comme une protection indispensable des populations, à laquelle il faut donner des moyens, même en période économiquement difficile», confie au journal, la consutnate Véronique Reille Soult.
« L’institution demeure épargnée par la crise de défiance, qui touche notamment les responsables politiques. Avec 86 % de bonnes opinions, la popularité de l’armée demeure intacte et majoritaire, quelle que soit la tranche d’âge ou l’appartenance politique. En revanche, l’opinion semble lucide sur les capacités militaires de la France. Seulement 65 % des personnes interrogées considèrent la France comme une grande puissance. Ils étaient 78% en juillet 2018 et 71% en juillet 2022. Depuis plusieurs mois, rapports officiels et déclarations publiques ont en effet révélé les carences de l’armée, qui, seule face à un adversaire, ne disposerait que de quelques jours de munitions. Le constat est exact mais le cas de figure est théorique puisque les Occidentaux conçoivent leur défense en coalition et puisque la France dispose de la dissuasion nucléaire » appuie le quotidien.
Lire en intégralité l’article du « Figaro » avec les conclusions du sondage Odoxa
« «La guerre en Ukraine est venue renforcer l’attachement des Français à leur armée. Elle est souvent perçue comme une protection indispensable des populations, à laquelle il faut donner des moyens, même en période économiquement difficile», confie au journal, la consutnate Véronique Reille Soult.
« L’institution demeure épargnée par la crise de défiance, qui touche notamment les responsables politiques. Avec 86 % de bonnes opinions, la popularité de l’armée demeure intacte et majoritaire, quelle que soit la tranche d’âge ou l’appartenance politique. En revanche, l’opinion semble lucide sur les capacités militaires de la France. Seulement 65 % des personnes interrogées considèrent la France comme une grande puissance. Ils étaient 78% en juillet 2018 et 71% en juillet 2022. Depuis plusieurs mois, rapports officiels et déclarations publiques ont en effet révélé les carences de l’armée, qui, seule face à un adversaire, ne disposerait que de quelques jours de munitions. Le constat est exact mais le cas de figure est théorique puisque les Occidentaux conçoivent leur défense en coalition et puisque la France dispose de la dissuasion nucléaire » appuie le quotidien.
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