Nuls en maths les lycéens Français ? Pas vraiment. Un phénomène est même en passe de contredire cette idée reçue. En effet, rapporte Lefigaro.fr, « la France affiche des résultats sans précédent dans les concours internationaux de mathématiques destinés aux lycéens. » Lesquels ? Par exemple, les Olympiades internationales mathématiques ou le Tournoi international des jeunes mathématiciens qui se dérouleront cet été, respectivement à Hong-Kong et à Saint-Pétersbourg.
De quoi se réjouir. Non seulement, la France tire haut la main son épingle du jeu « comme grande nation mathématique par le nombre de médailles Fields obtenues par ses chercheurs, elle affiche aussi des résultats sans précédent dans les concours internationaux ouverts aux jeunes lycéens. » C’est le cas du jeune Henry Bambury. Âgé de seize ans, il est scolarisé en terminale S au lycée Saint-Louis de Gonzague à Paris.
Il a suivi des stages de l’association Animath, qui « promeut cette matière auprès des jeunes. » Résultat, Henry Bambury a découvert « des maths différentes de ce qu’on fait en classe (…) Pas besoin de gros théorèmes ou de beaucoup de calculs, juste de la réflexion. Pour parvenir à une solution jolie, assez courte, et propre », a t-il expliqué à l’AFP. Respect. Des mathématiques olympiques, bien différentes des maths scolaires.
La bosse des maths donc. La France comptabilise en effet douze médailles Fields, soit une récompense aussi prestigieuse que le Prix Nobel pour les mathématiques. Cette récompense ultime est « décernée tous les quatre ans à des chercheurs de moins de 40 ans. » La France se place ainsi au deuxième rang, après les États-Unis. Pour les concours internationaux ouverts aux jeunes lycéens, elle s’est classée en quatorzième position l’année dernière, lors des Olympiades internationales.
Ainsi, rapporte Le Figaro : « cette année, une Française, Lucie Wang, en terminale à Louis-le-Grand à Paris, a remporté une médaille d’or aux Olympiades européennes réservées aux filles. Et un autre Français, Alexandre Thiault, du lycée du Parc à Lyon, est monté sur la plus haute marche des Olympiades balkaniques, autre concours réputé. » Il y a encore des progrès à faire, mais les résultats sont de plus en plus probants. Notamment, « grâce à une préparation plus en amont, avec des clubs ouverts aux élèves dès la classe de troisième, animés par des chercheurs-encadrants, bénévoles, dans plusieurs grandes villes. » Il faut continuer. En effet, de nombreux élèves à très fort potentiel passent entre les mailles du filet. Ils ne sont pas détectés et on perd de la matière grise.
De quoi se réjouir. Non seulement, la France tire haut la main son épingle du jeu « comme grande nation mathématique par le nombre de médailles Fields obtenues par ses chercheurs, elle affiche aussi des résultats sans précédent dans les concours internationaux ouverts aux jeunes lycéens. » C’est le cas du jeune Henry Bambury. Âgé de seize ans, il est scolarisé en terminale S au lycée Saint-Louis de Gonzague à Paris.
Il a suivi des stages de l’association Animath, qui « promeut cette matière auprès des jeunes. » Résultat, Henry Bambury a découvert « des maths différentes de ce qu’on fait en classe (…) Pas besoin de gros théorèmes ou de beaucoup de calculs, juste de la réflexion. Pour parvenir à une solution jolie, assez courte, et propre », a t-il expliqué à l’AFP. Respect. Des mathématiques olympiques, bien différentes des maths scolaires.
La bosse des maths donc. La France comptabilise en effet douze médailles Fields, soit une récompense aussi prestigieuse que le Prix Nobel pour les mathématiques. Cette récompense ultime est « décernée tous les quatre ans à des chercheurs de moins de 40 ans. » La France se place ainsi au deuxième rang, après les États-Unis. Pour les concours internationaux ouverts aux jeunes lycéens, elle s’est classée en quatorzième position l’année dernière, lors des Olympiades internationales.
Ainsi, rapporte Le Figaro : « cette année, une Française, Lucie Wang, en terminale à Louis-le-Grand à Paris, a remporté une médaille d’or aux Olympiades européennes réservées aux filles. Et un autre Français, Alexandre Thiault, du lycée du Parc à Lyon, est monté sur la plus haute marche des Olympiades balkaniques, autre concours réputé. » Il y a encore des progrès à faire, mais les résultats sont de plus en plus probants. Notamment, « grâce à une préparation plus en amont, avec des clubs ouverts aux élèves dès la classe de troisième, animés par des chercheurs-encadrants, bénévoles, dans plusieurs grandes villes. » Il faut continuer. En effet, de nombreux élèves à très fort potentiel passent entre les mailles du filet. Ils ne sont pas détectés et on perd de la matière grise.