L’objectif des piratages de comptes de réseaux sociaux par le groupe OurMine n’est pas clair mais ils commencent à faire parler d’eux. Ils avaient déjà frappé fort en récupérant les mots de passe de Mark Zuckerberg pour ses comptes Twitter et Pinterest. A cette occasion le monde entier avait ainsi appris que le fondateur de Facebook protégeait ses comptes avec un mot de place pour le moins pas sécurisé : dadada.
« Mais Zuck et Pichai ne sont pas les seuls trophées de l'équipe. Parmi les victimes du groupe, on dénombre aussi l'acteur Channing Tatum, Werner Vogels (le CTO d'Amazon), Daniel Ek (le fondateur de Spotify), le business angel Mark Suster, ou encore la soeur de Zuckerberg, Randi » raconte BFMTV.
« Mais Zuck et Pichai ne sont pas les seuls trophées de l'équipe. Parmi les victimes du groupe, on dénombre aussi l'acteur Channing Tatum, Werner Vogels (le CTO d'Amazon), Daniel Ek (le fondateur de Spotify), le business angel Mark Suster, ou encore la soeur de Zuckerberg, Randi » raconte BFMTV.
Un groupe aux intentions douteuses
A l’origine de ces attaques, le groupe OurMine, qui affirme agir pour dénoncer les failles de sécurité des réseaux sociaux et la vulnérabilité des données personnelles stockées. « Mais en hackant les réseaux sociaux de VIP, OurMine se fait surtout un énorme coup de pub. Car cette équipe, qui travaille pourtant dans l'illégalité, va jusqu'à se revendiquer comme une société de sécurité, qui facture ses services de scan et de dépistage de failles entre 100 et 5000 dollars suivant la taille et les besoins » nuance le site de la chaine d’infos.
Plus intriguant encore, « son porte-parole anonyme affirme avoir déjà gagné presque 19 000 dollars (18 400 exactement) en offrant ses services à des sites soucieux d'obtenir l'avis de son groupe. Des sites qui, interrogés par le site américain, ont pourtant largement démenti avoir eu recours à leur service » poursuit l’article. Si le coup de com’ est réussi, on voit peu comment en piratant des comptes Twitter le groupe va se créer une respectabilité professionnelle…
Plus intriguant encore, « son porte-parole anonyme affirme avoir déjà gagné presque 19 000 dollars (18 400 exactement) en offrant ses services à des sites soucieux d'obtenir l'avis de son groupe. Des sites qui, interrogés par le site américain, ont pourtant largement démenti avoir eu recours à leur service » poursuit l’article. Si le coup de com’ est réussi, on voit peu comment en piratant des comptes Twitter le groupe va se créer une respectabilité professionnelle…