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Une deuxième station spatiale, mais cette fois avec la Chine aux commandes. L’ambition est à la hauteur du pays qui concurrence les États-Unis dans à peu près tous les domaines. Et à l’image de la Nasa, c’est à renfort de communications que Pékin fait savoir qu’une station spatiale doit voir le jour. « La Chine poursuit sa conquête spatiale avec le lancement, jeudi 29 avril, du premier des trois éléments de sa station spatiale, dont l’assemblage devrait s’étaler sur plus d’un an avec une dizaine de missions successives (dont quatre habitées). Le module central Tianhe (« Harmonie céleste ») a été propulsé par une fusée Longue-Marche 5B depuis le centre de lancement de Wenchang, sur l’île tropicale de Hainan (sud), selon la télévision publique CCTV. L’ambitieux projet de Pékin, qui doit lui permettre à terme d’avoir des astronautes en permanence dans l’espace, devrait être pleinement opérationnel en 2022 » annonce Le Monde.
Le mois prochain une autre partie doit être accrochée à celle qui vient d’être envoyée. Puis des astronautes iront à bord poursuivre le travail. « Nommée en anglais par son acronyme CSS – China Space Station, « Station spatiale chinoise » –, elle évoluera en orbite terrestre basse (entre 340 et 450 km d’altitude) et ressemblera à l’ancienne station russe Mir (1986-2001). Sa durée de vie prévue sera de dix à quinze ans. Elle devrait peser au total plus de 90 tonnes. A titre de comparaison, elle sera environ trois fois plus petite que la Station spatiale internationale (ISS) dans laquelle se trouve actuellement l’astronaute français Thomas Pesquet. La CSS, dont le nom chinois est Tiangong (« Palais céleste »), cohabitera en orbite autour de la Terre avec l’ISS – laquelle devrait être opérationnelle encore plusieurs années. D’une longueur de 16,6 mètres et d’un diamètre de 4,2 mètres, le module Tianhe, qui sera la partie centrale de la CSS, sera le lieu de vie des astronautes et le centre de contrôle de la station » continue le quotidien.
Le tour de force impressionne. D’autant que Palais Céleste compte aussi fédérer des chercheurs et agences d’autres pays. Une nouvelle similitude avec les programmes américains qui s’ajoute à une liste devenue longue : « La Chine a posé début 2019 un engin sur la face cachée de la Lune – une première mondiale. L’an passé, elle a rapporté des échantillons de Lune. Elle prévoit de faire atterrir en mai un petit robot à roues sur Mars. L’agence spatiale chinoise a également annoncé le mois dernier son projet de construction d’une base lunaire avec la Russie. »
Le mois prochain une autre partie doit être accrochée à celle qui vient d’être envoyée. Puis des astronautes iront à bord poursuivre le travail. « Nommée en anglais par son acronyme CSS – China Space Station, « Station spatiale chinoise » –, elle évoluera en orbite terrestre basse (entre 340 et 450 km d’altitude) et ressemblera à l’ancienne station russe Mir (1986-2001). Sa durée de vie prévue sera de dix à quinze ans. Elle devrait peser au total plus de 90 tonnes. A titre de comparaison, elle sera environ trois fois plus petite que la Station spatiale internationale (ISS) dans laquelle se trouve actuellement l’astronaute français Thomas Pesquet. La CSS, dont le nom chinois est Tiangong (« Palais céleste »), cohabitera en orbite autour de la Terre avec l’ISS – laquelle devrait être opérationnelle encore plusieurs années. D’une longueur de 16,6 mètres et d’un diamètre de 4,2 mètres, le module Tianhe, qui sera la partie centrale de la CSS, sera le lieu de vie des astronautes et le centre de contrôle de la station » continue le quotidien.
Le tour de force impressionne. D’autant que Palais Céleste compte aussi fédérer des chercheurs et agences d’autres pays. Une nouvelle similitude avec les programmes américains qui s’ajoute à une liste devenue longue : « La Chine a posé début 2019 un engin sur la face cachée de la Lune – une première mondiale. L’an passé, elle a rapporté des échantillons de Lune. Elle prévoit de faire atterrir en mai un petit robot à roues sur Mars. L’agence spatiale chinoise a également annoncé le mois dernier son projet de construction d’une base lunaire avec la Russie. »