Loger des enfants étudiants est un défi pour la plupart des familles. La plupart du temps il s’agit d’un effort financier important et le moindre bon plan peu faire toute la différence. Mais cette année avec Parcoursup, des dizaines de milliers de personnes risquent de se retrouver au pied du mur en étant fixé au dernier moment sur le lieu de destination. Le 8 aout dernier, 66 661 bacheliers 2018 ne savaient pas encore où ils étudieront en septembre. « Au sentiment d'être laissé pour compte s'ajoute la déception de devoir parfois renoncer à des solutions de logement chèrement acquises. Les demandes de logements sociaux auprès du Crous se compliquent au fur et à mesure que l'incertitude perdure » raconte BFMTV. Et si les logements les plus avantageux partent les premiers, les choix restants seront certainement les moins accessibles.
La plupart des offres immobilières pour étudiants sont bouclées fin juillet, pour les milliers de personnes restantes, une course contre la montre se joue avec l’espoir d’avoir un toit lorsqu’ils auront un établissement d’enseignement supérieur. Et si le gouvernement se félicite de voir que 86% des bacheliers ont eu une proposition qu’ils auraient pu accepter, les mécontentements de s’éteignent pas et notamment sur la pression qui est mise sur les bacheliers avec un délai de 48h pour accepter une proposition, faute de quoi il sera trop tard. « Reste qu'au final, encore 21% des candidats à la poursuite d'études supérieures sont encore dans l'expectative. Une situation qui crée du stress chez les impétrants, comme auprès des universités qui peinent à gérer les arrivées de dernière minute et notamment à anticiper le recrutement d'enseignants. Le 30 juillet, la ministre Frédérique Vidal annonçait qu'un bilan de Parcoursup serait fait "fin septembre" pour "regarder s'il y a des choses à améliorer". Dont acte » conclue BFMTV.
La plupart des offres immobilières pour étudiants sont bouclées fin juillet, pour les milliers de personnes restantes, une course contre la montre se joue avec l’espoir d’avoir un toit lorsqu’ils auront un établissement d’enseignement supérieur. Et si le gouvernement se félicite de voir que 86% des bacheliers ont eu une proposition qu’ils auraient pu accepter, les mécontentements de s’éteignent pas et notamment sur la pression qui est mise sur les bacheliers avec un délai de 48h pour accepter une proposition, faute de quoi il sera trop tard. « Reste qu'au final, encore 21% des candidats à la poursuite d'études supérieures sont encore dans l'expectative. Une situation qui crée du stress chez les impétrants, comme auprès des universités qui peinent à gérer les arrivées de dernière minute et notamment à anticiper le recrutement d'enseignants. Le 30 juillet, la ministre Frédérique Vidal annonçait qu'un bilan de Parcoursup serait fait "fin septembre" pour "regarder s'il y a des choses à améliorer". Dont acte » conclue BFMTV.