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Des pluies records avec des niveaux non enregistrés depuis au moins 90 ans ont causé de terribles inondations au Brésil. C’est la ville de Petropolis qui est touchée par cette catastrophe naturelle qui a tué au moins 104 personnes, au dernier bilan transmis vendredi 18 février matin. « Dans les rues de Petropolis, survolées par les hélicoptères des sauveteurs, de nombreux habitants parlaient jeudi matin de proches ou voisins disparus, dont le nombre s’élève officiellement à 35, a constaté un journaliste de l’AFP. Les pompiers ont travaillé toute la nuit de mercredi à jeudi dans cette ville de 300 000 habitants, mais ont dû s’arrêter quelques heures en raison de l’instabilité des sols gorgés d’eau. Mais la situation menace d’empirer. La défense civile a lancé un avis de « nouvelles fortes pluies [jeudi] en soirée ou la nuit prochaine » et averti que « de nouvelles alertes peuvent être lancées à tout moment ». En cas de fortes pluies, « les personnes se trouvant dans les zones à haut risque doivent se réfugier en lieu sûr », a averti la défense civile, ajoutant que 33 écoles accueillaient les sinistrés » relaye L’Obs.
En début de semaine, les précipitations étaient telles qu’en quelques heures il est tombé autant d’eau que la moyenne pour le mois de février. Une situation qui est particulièrement dramatique pour cette ville mais qui concerne tout le pays : « le Brésil a été frappé en cette saison des pluies par des précipitations particulièrement sévères – dans les Etats de Bahia (nord-est), Minas Gerais et Sao Paulo (sud-est) – que les experts ont liées au réchauffement climatique. Avec ce réchauffement, les risques d’épisodes de fortes précipitations augmentent, selon les scientifiques. Ces pluies, associées notamment au Brésil à une urbanisation souvent sauvage, favorisent inondations et glissements de terrain meurtriers. »
Trois jours de deuil ont été déclarés par la ville de Pétropolis tandis que plus de cinq cent pompiers et militaires continuaient les fouilles à la recherche de rescapés ou victimes.
En début de semaine, les précipitations étaient telles qu’en quelques heures il est tombé autant d’eau que la moyenne pour le mois de février. Une situation qui est particulièrement dramatique pour cette ville mais qui concerne tout le pays : « le Brésil a été frappé en cette saison des pluies par des précipitations particulièrement sévères – dans les Etats de Bahia (nord-est), Minas Gerais et Sao Paulo (sud-est) – que les experts ont liées au réchauffement climatique. Avec ce réchauffement, les risques d’épisodes de fortes précipitations augmentent, selon les scientifiques. Ces pluies, associées notamment au Brésil à une urbanisation souvent sauvage, favorisent inondations et glissements de terrain meurtriers. »
Trois jours de deuil ont été déclarés par la ville de Pétropolis tandis que plus de cinq cent pompiers et militaires continuaient les fouilles à la recherche de rescapés ou victimes.