Potager urbain et connecté, robot de taille humaine, famille de capteurs intelligents… C’est en autres, ce que l’on a pu découvrir au Festival Futur en Seine, qui s’est déroulé à Paris, à la mi-juin. Futur en Seine, c’est un peu la vitrine du « meilleur des innovations numériques » comme le dit le site du Monde. Ainsi, lors de ce festival, 150 innovations numériques françaises et internationales, ont été présentées dans un « village des innovations ». Au programme, cabine de santé, jeu vidéo pour non-voyants… Intelligence artificielle, réalité virtuelle, Internet des objets : tous les domaines de recherches sont présents. Et via les objets, la concrétisation est parfois surprenante.
C’est le cas de Sami, un robot développé par le Criif, le Centre de robotique intégrée d’Île-de-France. Sami est un robot à l’air doux, tout blanc et de taille humaine. Pour se mettre en marche, il doit être piloté par un humain muni d’un casque de réalité virtuelle. Sami réplique alors ses mouvements dans un… mouvement confondant. Pour ce faire, une caméra Kinect est activée. Elle enregistre les gestes de l’homme puis les retransmet au robot. Sami les reproduit alors en temps réel. Les futurs applications de Sami ? Comme beaucoup de comparses androïdes, il pourrait intervenir en milieu hostile à la place de l’homme. Une utilisation industrielle est également évoquée, « pour le désamiantage ou la maintenance nucléaire » explique au Monde, Flavien Legrand, chef de projet au Criif. Milieux hostiles dans tous les cas.
Pendant le festival, le mobilier connecté a tenu une place importante, prépondérante même, au milieu des jeux vidéo et des robots. Mais ce qui frappe le plus est peut-être le concept « Mother » : ou justement, comment connecter son logement sans acheter des meubles connectés. Il suffit de poser à des endroits précis des capteurs connectés. Ces derniers, imaginés par la société française Sens.se s’appliquent sur certains supports comme des vitres (ils signalent alors une éventuelle intrusion), dans le berceau d’un bébé et surveillent sa température, sur une boîte de médicament pour ne pas oublier de les prendre… Les capteurs sont équipés d’un accéléromètre et d’un thermomètre, et sont connectés à une application. Cette dernière centralise toutes les données. Même, avec un capteur posé dans le sac à dos de Junior, on saura quand il rentre de l’école…
C’est le cas de Sami, un robot développé par le Criif, le Centre de robotique intégrée d’Île-de-France. Sami est un robot à l’air doux, tout blanc et de taille humaine. Pour se mettre en marche, il doit être piloté par un humain muni d’un casque de réalité virtuelle. Sami réplique alors ses mouvements dans un… mouvement confondant. Pour ce faire, une caméra Kinect est activée. Elle enregistre les gestes de l’homme puis les retransmet au robot. Sami les reproduit alors en temps réel. Les futurs applications de Sami ? Comme beaucoup de comparses androïdes, il pourrait intervenir en milieu hostile à la place de l’homme. Une utilisation industrielle est également évoquée, « pour le désamiantage ou la maintenance nucléaire » explique au Monde, Flavien Legrand, chef de projet au Criif. Milieux hostiles dans tous les cas.
Pendant le festival, le mobilier connecté a tenu une place importante, prépondérante même, au milieu des jeux vidéo et des robots. Mais ce qui frappe le plus est peut-être le concept « Mother » : ou justement, comment connecter son logement sans acheter des meubles connectés. Il suffit de poser à des endroits précis des capteurs connectés. Ces derniers, imaginés par la société française Sens.se s’appliquent sur certains supports comme des vitres (ils signalent alors une éventuelle intrusion), dans le berceau d’un bébé et surveillent sa température, sur une boîte de médicament pour ne pas oublier de les prendre… Les capteurs sont équipés d’un accéléromètre et d’un thermomètre, et sont connectés à une application. Cette dernière centralise toutes les données. Même, avec un capteur posé dans le sac à dos de Junior, on saura quand il rentre de l’école…