Rappeler que la paix est l’objectif. Le sommet à Rome de la communauté Saint’Egidio a été un moment fort dans ce sens. Des représentants de différentes religions et de pays se sont retrouvés à l’appel de cette institution catholique spécialisée dans la diplomatie et la résolution des conflits. Emmanuel Macron y a donné un discours axé sur la recherche de la paix.
« «Une paix est possible» en Ukraine quand les Ukrainiens «le décideront», a déclaré dimanche 23 octobre Emmanuel Macron à l'ouverture d'un sommet pour la paix à Rome organisé par la communauté italienne Sant'Egidio. «A un moment, en fonction de l'évolution des choses et quand le peuple ukrainien et ses dirigeants l'auront décidé, dans les termes qu'ils auront décidé, la paix se bâtira avec l'autre, qui est l'ennemi d'aujourd'hui, autour d'une table.» Le chef de l'Etat français est arrivé dimanche après-midi à Rome, où il sera reçu lundi matin par le pape François pour une audience privée au Vatican, la troisième entre les deux hommes depuis l'élection d'Emmanuel Macron en 2017. Il devrait rencontrer également la nouvelle Première ministre italienne Giorgia Meloni dimanche soir à Rome, quelques heures après l'entrée en fonctions du gouvernement le plus à droite d'Italie depuis 1946 » résume Le Figaro.
Prenant les devants sur les critiques qui ont ensuite fusé, le président français a défendu le principe de l’appel à la paix, tout en insistant plus que lors de précédentes déclarations sur le fait que ce sont les Ukrainiens, les agressés, qui doivent être à l’initiative du processus de paix. « Parler de paix et appeler à la paix aujourd'hui peut avoir quelque chose d'insupportable pour celles et ceux qui se battent pour leur liberté, et leur donner le sentiment d'être en quelque sorte trahis», a reconnu le président français. Mais il a martelé qu'il fallait avoir le «courage» de «vouloir la paix», même si «imaginer la paix en temps de guerre» est «le plus grand des impensables». Il a néanmoins estimé que la paix ne devait pas être «capturée par le pouvoir russe», ni «la consécration de la loi du plus fort», «ni le cessez-le-feu, ce qui viendrait consacrer un état de fait» » compile le quotidien français.
« «Une paix est possible» en Ukraine quand les Ukrainiens «le décideront», a déclaré dimanche 23 octobre Emmanuel Macron à l'ouverture d'un sommet pour la paix à Rome organisé par la communauté italienne Sant'Egidio. «A un moment, en fonction de l'évolution des choses et quand le peuple ukrainien et ses dirigeants l'auront décidé, dans les termes qu'ils auront décidé, la paix se bâtira avec l'autre, qui est l'ennemi d'aujourd'hui, autour d'une table.» Le chef de l'Etat français est arrivé dimanche après-midi à Rome, où il sera reçu lundi matin par le pape François pour une audience privée au Vatican, la troisième entre les deux hommes depuis l'élection d'Emmanuel Macron en 2017. Il devrait rencontrer également la nouvelle Première ministre italienne Giorgia Meloni dimanche soir à Rome, quelques heures après l'entrée en fonctions du gouvernement le plus à droite d'Italie depuis 1946 » résume Le Figaro.
Prenant les devants sur les critiques qui ont ensuite fusé, le président français a défendu le principe de l’appel à la paix, tout en insistant plus que lors de précédentes déclarations sur le fait que ce sont les Ukrainiens, les agressés, qui doivent être à l’initiative du processus de paix. « Parler de paix et appeler à la paix aujourd'hui peut avoir quelque chose d'insupportable pour celles et ceux qui se battent pour leur liberté, et leur donner le sentiment d'être en quelque sorte trahis», a reconnu le président français. Mais il a martelé qu'il fallait avoir le «courage» de «vouloir la paix», même si «imaginer la paix en temps de guerre» est «le plus grand des impensables». Il a néanmoins estimé que la paix ne devait pas être «capturée par le pouvoir russe», ni «la consécration de la loi du plus fort», «ni le cessez-le-feu, ce qui viendrait consacrer un état de fait» » compile le quotidien français.