« Shrinkflation », « rapetiflation » ou « rétréciflation »… Peu importe comment on nomme le procédé, le résultat est le même : le prix reste inchangé mais vous avez désormais 200 grammes de chocolat contre 220 auparavant… Cela s’appelle la « shrinkflation ». Autrement dit, la contraction de rétrécir, shrink en Anglais, et d'inflation.
Derrière cette jolie appellation se cache une drôle de combine parfois utilisée par les marques. Ainsi, en Australie, la marque Cadbury va alléger en gramme le poids de certaines de ses tablettes, sans pour autant en baisser le prix. Si le consommateur ne regarde pas l’étiquette, il n’y voit que du feu. Il est floué malgré lui.
Pour prendre l’exemple du confiseur Cadbury, ce dernier justifie sa méthode en invoquant une hausse des coûts de production. Il dit avoir hésité entre l’augmentation du prix de la tablette de chocolat, ou la réduction de son poids. C’est ce que révèle le quotidien Sydney Morning Herald. La marque Cadbury a quant à elle, prévenu les consommateurs par l’intermédiaire de sa page Facebook.
Dans tous les cas, c’est masquer une inflation réelle dans un « emballage » quelque peu discutable. La pratique n’est pas l’apanage de Cadbury. Elle serait d’ailleurs plus répandue qu’on ne le croit. Le site australien News.com.au rappelle : « les consommateurs étant moins susceptibles de remarquer un changement de taille qu'une hausse de prix. » Hausse des coûts de production, « Shrinkflation », « rapetiflation » ou « rétréciflation », peu importe la raison, il y a quand même de quoi crier au scandale !
Derrière cette jolie appellation se cache une drôle de combine parfois utilisée par les marques. Ainsi, en Australie, la marque Cadbury va alléger en gramme le poids de certaines de ses tablettes, sans pour autant en baisser le prix. Si le consommateur ne regarde pas l’étiquette, il n’y voit que du feu. Il est floué malgré lui.
Pour prendre l’exemple du confiseur Cadbury, ce dernier justifie sa méthode en invoquant une hausse des coûts de production. Il dit avoir hésité entre l’augmentation du prix de la tablette de chocolat, ou la réduction de son poids. C’est ce que révèle le quotidien Sydney Morning Herald. La marque Cadbury a quant à elle, prévenu les consommateurs par l’intermédiaire de sa page Facebook.
Dans tous les cas, c’est masquer une inflation réelle dans un « emballage » quelque peu discutable. La pratique n’est pas l’apanage de Cadbury. Elle serait d’ailleurs plus répandue qu’on ne le croit. Le site australien News.com.au rappelle : « les consommateurs étant moins susceptibles de remarquer un changement de taille qu'une hausse de prix. » Hausse des coûts de production, « Shrinkflation », « rapetiflation » ou « rétréciflation », peu importe la raison, il y a quand même de quoi crier au scandale !