Ludovic Le Moan a créé Sigfox en 2011 à Toulouse. Il est à l’origine du premier réseau consacré à l’internet des objets, The Internet of Things, en Anglais. Le but : permettre à n’importe quel objet connecté d’entrer en contact avec les autres, le tout à un prix abordable. L’Internet des objets, c’est ce que l’on appelle le Web 3.0, soit la troisième évolution de l’Internet. Il représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers Internet.
Les objets connectés représentent une manne. En revanche, il y a un véritable challenge concernant l’énergie à relever. En effet, la plupart des objets connectés fonctionnent avec des batteries, ce qui représente un réel inconvénient. Particulièrement, dans une période où les sources d’énergie se raréfient. C’est une des raisons pour lesquelles Ludovic Le Moan a créé son réseau Sigfox. Dédié à l’Internet des objets, il permet à ces derniers de communiquer entre eux sans utiliser beaucoup d’énergie.
Ainsi, il cherche à mettre au point un système d’objets qui se connecteraient en microwatts. Finies les batteries ! Le projet est ambitieux : « Si l’on va au bout de la démarche, cela voudra dire que les objets n’ont plus de batteries, ils seront autonomes. Pour moi, c’est le Graal : nous pourrons commencer à les mettre un peu partout. Une chaise, par exemple. Ou une serrure », explique t-il à 20 Minutes.fr. Pour se faire, le nerf de la guerre est donc la façon dont on gère les ressources. En effet, continue t-il, « il y a, autour de nous, une énergie omniprésente et peu onéreuse pour peu qu’on sache l’utiliser. »
De fait, l’internet des objets a contribué à l’augmentation du volume des données générées sur le réseau, à l'origine du Big Data. L’importance de ces datas va croître si des dispositifs comme celui auquel pense Ludovic Le Moan voient le jour. Évidemment, la question de la sécurité des données est ultra sensible. Mais les opportunités que représentent ces datas sont également énormes. Elles vont considérablement améliorer la vie quotidienne, « nos modèles environnementaux, nos modèles de santé, la science… », ajoute Ludovic Le Moan.
Pour lui, d’ici une dizaine d’année, « tout sera connecté ». Les habitations comporteront des centaines d’objets connectés. « Plein de situations du quotidien seront alors résolues sans avoir besoin de votre participation. Nous gagnerons du temps pour faire plus de choses dans la journée », explique t-il. Ce n’est pas beau ça ? Si, c'est l'Internet des objets !
Les objets connectés représentent une manne. En revanche, il y a un véritable challenge concernant l’énergie à relever. En effet, la plupart des objets connectés fonctionnent avec des batteries, ce qui représente un réel inconvénient. Particulièrement, dans une période où les sources d’énergie se raréfient. C’est une des raisons pour lesquelles Ludovic Le Moan a créé son réseau Sigfox. Dédié à l’Internet des objets, il permet à ces derniers de communiquer entre eux sans utiliser beaucoup d’énergie.
Ainsi, il cherche à mettre au point un système d’objets qui se connecteraient en microwatts. Finies les batteries ! Le projet est ambitieux : « Si l’on va au bout de la démarche, cela voudra dire que les objets n’ont plus de batteries, ils seront autonomes. Pour moi, c’est le Graal : nous pourrons commencer à les mettre un peu partout. Une chaise, par exemple. Ou une serrure », explique t-il à 20 Minutes.fr. Pour se faire, le nerf de la guerre est donc la façon dont on gère les ressources. En effet, continue t-il, « il y a, autour de nous, une énergie omniprésente et peu onéreuse pour peu qu’on sache l’utiliser. »
De fait, l’internet des objets a contribué à l’augmentation du volume des données générées sur le réseau, à l'origine du Big Data. L’importance de ces datas va croître si des dispositifs comme celui auquel pense Ludovic Le Moan voient le jour. Évidemment, la question de la sécurité des données est ultra sensible. Mais les opportunités que représentent ces datas sont également énormes. Elles vont considérablement améliorer la vie quotidienne, « nos modèles environnementaux, nos modèles de santé, la science… », ajoute Ludovic Le Moan.
Pour lui, d’ici une dizaine d’année, « tout sera connecté ». Les habitations comporteront des centaines d’objets connectés. « Plein de situations du quotidien seront alors résolues sans avoir besoin de votre participation. Nous gagnerons du temps pour faire plus de choses dans la journée », explique t-il. Ce n’est pas beau ça ? Si, c'est l'Internet des objets !