Messagerie cryptée et fiable. C’est sur cette image simple que Signal s’est lancé en 2015. Très rapidement, les milieux d’affaires, des médias ou politiques se sont rués sur cette messagerie. Le succès est évident aujourd’hui mais pourrait être encore plus massif dans la mesure où la protection de la vie privée devient de plus en plus un enjeu grand public. « L'application, désormais disponible sur iPad, permet d'envoyer des photos et des vidéos éphémères, des stickers ou de coller des emojis sous certains messages en guise de réaction. Il est même question de pouvoir faire des discussions de groupe et de synchroniser ses contacts dans un avenir proche. Tout un tas de fonctionnalités que les applications "grand public" ont intégré il y a quelque temps maintenant, mais que Signal a mis du temps à développer en raison du focus mis sur le chiffrement des communications » rapportent Les Numériques .
Avec des messages qui peuvent s’effacer dans les délais sélectionnés et un cryptage supérieur aux concurrents, l’application a senti que son potentiel explosait à mesure que l’image de WhatsApp évoluait. « Le virage s'est opéré il y a deux ans quand Brian Acton, le co-fondateur de WhatsApp, a claqué la porte de Facebook pour investir 50 millions dans la fondation Signal qui édite le logiciel du même nom. Grâce à l'expérience d'Acton, aux millions de dollars fraîchement acquis et aux principes de Rosenfeld, Signal est devenue une application qui compte désormais plusieurs dizaines de millions d'utilisateurs » ajoute le site spécialisé.
Avec un milliard d’utilisateurs comme objectif d’ici cinq ans, Signal veut devenir un poids lourd. Oubliant peut-être un peu vite que si Signal devient grand public, un petit concurrent va pointer son nez. Expliquant qu’il est mieux crypté et protégé que les autres. De ce point d de vue, le sort de Telegram est évocateur.
Avec des messages qui peuvent s’effacer dans les délais sélectionnés et un cryptage supérieur aux concurrents, l’application a senti que son potentiel explosait à mesure que l’image de WhatsApp évoluait. « Le virage s'est opéré il y a deux ans quand Brian Acton, le co-fondateur de WhatsApp, a claqué la porte de Facebook pour investir 50 millions dans la fondation Signal qui édite le logiciel du même nom. Grâce à l'expérience d'Acton, aux millions de dollars fraîchement acquis et aux principes de Rosenfeld, Signal est devenue une application qui compte désormais plusieurs dizaines de millions d'utilisateurs » ajoute le site spécialisé.
Avec un milliard d’utilisateurs comme objectif d’ici cinq ans, Signal veut devenir un poids lourd. Oubliant peut-être un peu vite que si Signal devient grand public, un petit concurrent va pointer son nez. Expliquant qu’il est mieux crypté et protégé que les autres. De ce point d de vue, le sort de Telegram est évocateur.