Xiaomi est tellement sur d’elle, qu’elle se lance en France sans partenaire local. Voilà une donnée qui permet de saisir à qui on a affaire avec cette marque chinoise de smartphones et de tech en général. Quelques mois après le lancement des ses téléphones en Espagne, le groupe va donc être le deuxième marché européen dans son viseur.
C’est une nouvelle de taille que quelques chiffres permettent de saisir. Les téléphones intelligents Xiaomi sont en vente dans 70 pays mais le groupe totalise 90 millions d’unités en 2017 se positionnant à la cinquième place des constructeurs. En Inde, le groupe est même en deuxième position. Le tout alors que l’entreprise n’existe que depuis 2010.
Les raisons de son succès s’expliquent tant par ses ambitions esthétiques et marketing que par les prix défiants toute concurrence. Le fondateur de la société, Lei Jun a positionné son business en proposant des téléphones perçus comme hauts de gammes mais à des prix d’entrée de gamme. Comme l’explique RTL, « la compagnie s'est fait une place au soleil en produisant des smartphones Android qualitatifs, au design proche de ceux de l'iPhone, à des tarifs agressifs. En Chine, les smartphones de la marque se vendent entre 120 et 500 euros. Signe de sa volonté d'attaquer le marché français par les tarifs, la marque s'est engagée à ne pas prendre plus de 5% de marges sur ses produits. Les challengers Honor, OnePlus, Wiko ou Alcatel peuvent s'attendre à être bousculés. »
Alors que les premiers téléphones seront en vente le 22 mai, une boutique en ligne sera lancée et un premier magasin dédié va ouvrir ses portes dans Paris. Les marques les moins chères peuvent trembler mais pas que puisque même Samsung et Apple pourraient être perdre quelques points de part de marché. Confiant en ses arguments qui ont payé ailleurs, Xiaomi se paye le luxe de ne s’appuyer que sur elle-même et « n'a pas prévu de s'appuyer sur les opérateurs français pour l'instant. La marque mise sur Internet et le bouche à oreille pour se faire connaître. La Mi Communauté française sera lancée le 3 mai pour fédérer les fans de la marque autour d'un forum et des réseaux sociaux, où l'entreprise prépare depuis plusieurs mois son arrivée en France. »
C’est une nouvelle de taille que quelques chiffres permettent de saisir. Les téléphones intelligents Xiaomi sont en vente dans 70 pays mais le groupe totalise 90 millions d’unités en 2017 se positionnant à la cinquième place des constructeurs. En Inde, le groupe est même en deuxième position. Le tout alors que l’entreprise n’existe que depuis 2010.
Les raisons de son succès s’expliquent tant par ses ambitions esthétiques et marketing que par les prix défiants toute concurrence. Le fondateur de la société, Lei Jun a positionné son business en proposant des téléphones perçus comme hauts de gammes mais à des prix d’entrée de gamme. Comme l’explique RTL, « la compagnie s'est fait une place au soleil en produisant des smartphones Android qualitatifs, au design proche de ceux de l'iPhone, à des tarifs agressifs. En Chine, les smartphones de la marque se vendent entre 120 et 500 euros. Signe de sa volonté d'attaquer le marché français par les tarifs, la marque s'est engagée à ne pas prendre plus de 5% de marges sur ses produits. Les challengers Honor, OnePlus, Wiko ou Alcatel peuvent s'attendre à être bousculés. »
Alors que les premiers téléphones seront en vente le 22 mai, une boutique en ligne sera lancée et un premier magasin dédié va ouvrir ses portes dans Paris. Les marques les moins chères peuvent trembler mais pas que puisque même Samsung et Apple pourraient être perdre quelques points de part de marché. Confiant en ses arguments qui ont payé ailleurs, Xiaomi se paye le luxe de ne s’appuyer que sur elle-même et « n'a pas prévu de s'appuyer sur les opérateurs français pour l'instant. La marque mise sur Internet et le bouche à oreille pour se faire connaître. La Mi Communauté française sera lancée le 3 mai pour fédérer les fans de la marque autour d'un forum et des réseaux sociaux, où l'entreprise prépare depuis plusieurs mois son arrivée en France. »