Le masque ne sera plus obligatoire dans les transports en France
Pixabay/iqbalnuril
C’était le dernier lieu qui concernait tous les Français ou presque : dans les transports en commun, soit les bus, les trains ou encore les métros, le masque FFP1 ou FFP2 était toujours obligatoire en France. La dernière mesure restrictive en vigueur dans le pays après l’abandon du masque dans les lieux publics, les magasins ou encore les cinémas, et surtout depuis la levée des contrôles de vaccination.
À l’issue du Conseil des ministres du 11 mai 2022, Olivier Véran, ministre de la Santé, a déclaré que le masque ne serait plus obligatoire dans les transports en commun dès le lundi 16 mai 2022. Une mesure accompagnée toutefois d’une mise en garde : « la pandémie n’est pas terminée », a tenu à préciser le ministre de la Santé. Le masque reste d’ailleurs recommandé dans les transports, tout particulièrement pour les personnes fragiles.
À l’issue du Conseil des ministres du 11 mai 2022, Olivier Véran, ministre de la Santé, a déclaré que le masque ne serait plus obligatoire dans les transports en commun dès le lundi 16 mai 2022. Une mesure accompagnée toutefois d’une mise en garde : « la pandémie n’est pas terminée », a tenu à préciser le ministre de la Santé. Le masque reste d’ailleurs recommandé dans les transports, tout particulièrement pour les personnes fragiles.
Le masque levé également dans les avions en Europe
La décision du gouvernement français semble faire écho à celle, annoncée le même jour, de l’AESA. L’Agence européenne de la Sécurité aérienne a en effet également décidé que le masque ne serait plus obligatoire dans les aéroports européens, et surtout dans les avions. Et ce, dès le lundi 16 mai 2022. De quoi faciliter les voyages alors que se profile la saison touristique estivale.
L’AESA souligne néanmoins que des compagnies aériennes pourraient prendre indépendamment la décision d’imposer le masque à leurs voyageurs, et que le masque reste fortement recommandé en cas de liaisons avec des zones où la pandémie connaîtrait une flambée ou serait encore fortement présente.
L’AESA souligne néanmoins que des compagnies aériennes pourraient prendre indépendamment la décision d’imposer le masque à leurs voyageurs, et que le masque reste fortement recommandé en cas de liaisons avec des zones où la pandémie connaîtrait une flambée ou serait encore fortement présente.