Le premier impeachment depuis les années 2000
La procédure d’impeachment contre Donald Trump est la quatrième de l’histoire des États-Unis et la première depuis les années 2000. La précédente, qui visait Bill Clinton dans l’affaire Lewinsky, s’était tenue en 1998 et s’était soldée par un acquittement. Donald Trump devrait connaître le même sort : il faut le vote de deux tiers des sénateurs pour que le président soit destitué et le Sénat est largement acquis aux Républicains.
Si l’issue ne changera probablement pas entre les deux procès, un détail n’a pas échappé aux observateurs : les montres connectées. Huit d’entre eux, dont le chef de la majorité républicaine Mitch McConnell, portaient des Apple Watch au poignet le 21 janvier 2020, date de l’ouverture de la procédure.
Si l’issue ne changera probablement pas entre les deux procès, un détail n’a pas échappé aux observateurs : les montres connectées. Huit d’entre eux, dont le chef de la majorité républicaine Mitch McConnell, portaient des Apple Watch au poignet le 21 janvier 2020, date de l’ouverture de la procédure.
Des règles strictes mais pas tout à fait respectées
Si le média américain Roll Call dévoile cette information c’est que les règles qui régissent la procédure d’impeachment sont extrêmement strictes : les sénateurs n’ont pas le droit de parler durant le procès, sous peine d’emprisonnement. Et, théoriquement, aucun dispositif électronique n’est autorisé dans l’enceinte du Sénat.
Si les sénateurs seront fort probablement rappelés à l’ordre, ils risquent d’importantes sanctions, d’autant plus que les montres connectées ont quasiment toutes les fonctions d’un véritable smartphone, la taille en moins. Outre être un manquement concernant les règles régissant l’impeachment, ces appareils représentent une menace pour la sécurité du pays, des informations confidentielles pouvant être apportées comme preuves par l’accusation ou la défense.
Si les sénateurs seront fort probablement rappelés à l’ordre, ils risquent d’importantes sanctions, d’autant plus que les montres connectées ont quasiment toutes les fonctions d’un véritable smartphone, la taille en moins. Outre être un manquement concernant les règles régissant l’impeachment, ces appareils représentent une menace pour la sécurité du pays, des informations confidentielles pouvant être apportées comme preuves par l’accusation ou la défense.