Politique
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Il y a encore des vocations pour être bouquiniste. « Plus d’une cinquantaine de personnes ont participé à l’appel à candidatures de la Mairie de Paris clos vendredi 18 février à 16 heures (sans compter les lettres attendues samedi) pour occuper, ces cinq prochaines années, les dix-huit places vacantes de bouquinistes sur les quais de Seine, à Paris. Un comité de sélection, composé de trois bouquinistes, quatre élus du Conseil de Paris et quatre représentants du monde des livres et de l’entreprise, désignera les élus en mars » explique Le Monde .
Car pour avoir un espace sur les bords de Seine il faut répondre à des critères établis par la mairie. Catalogue et viabilité économique du projet sont passés en revue par le comité. Mais avec 241 emplacements et 220 bouquinistes, l’activité a souffert comme le secteur du livre mais aussi les commerçants en général depuis les gilets jaunes et la pandémie. « Avec 300 000 livres proposés à ciel ouvert sur près de 4 kilomètres de quais, les bouquinistes souhaiteraient que leur surface de vente soit étendue pour qu’ils puissent bénéficier, ce qui était le cas avant 1943, de 10 mètres de linéaires chacun, soit l’équivalent de cinq boîtes peintes en vert wagon. Et non pas 8,60 mètres, comme aujourd’hui. Cela permettrait d’offrir 80 000 volumes supplémentaires aux clients. Olivia Polski, adjointe au commerce de la Ville de Paris, affirme au Monde être « plutôt favorable » à cette réforme qu’elle pourrait « regarder au cas par cas » » nous apprend le quotidien.
Alors que les touristes étrangers ne sont pas encore massivement revenus, les bouquinistes sont eux aussi dans l’expectative. D’autant que pour les étales proches de Notre Dame ou du quartier latin, la plus grande partie de leur chiffre d’affaires est réalisée par l’achat de souvenir et non la vente de livres au détail.
Car pour avoir un espace sur les bords de Seine il faut répondre à des critères établis par la mairie. Catalogue et viabilité économique du projet sont passés en revue par le comité. Mais avec 241 emplacements et 220 bouquinistes, l’activité a souffert comme le secteur du livre mais aussi les commerçants en général depuis les gilets jaunes et la pandémie. « Avec 300 000 livres proposés à ciel ouvert sur près de 4 kilomètres de quais, les bouquinistes souhaiteraient que leur surface de vente soit étendue pour qu’ils puissent bénéficier, ce qui était le cas avant 1943, de 10 mètres de linéaires chacun, soit l’équivalent de cinq boîtes peintes en vert wagon. Et non pas 8,60 mètres, comme aujourd’hui. Cela permettrait d’offrir 80 000 volumes supplémentaires aux clients. Olivia Polski, adjointe au commerce de la Ville de Paris, affirme au Monde être « plutôt favorable » à cette réforme qu’elle pourrait « regarder au cas par cas » » nous apprend le quotidien.
Alors que les touristes étrangers ne sont pas encore massivement revenus, les bouquinistes sont eux aussi dans l’expectative. D’autant que pour les étales proches de Notre Dame ou du quartier latin, la plus grande partie de leur chiffre d’affaires est réalisée par l’achat de souvenir et non la vente de livres au détail.