Source : Pixabay, image libre de droits
Un article en ligne de l’Expansion explique que « le climat social tendu a pesé en juin sur le moral des chefs d'entreprises et l'activité du secteur privé. »
Cependant, « ces indicateurs n'annoncent pas, pour le moment, un retournement de tendance, dans le contexte de reprise économique. »
Cependant, « ces indicateurs n'annoncent pas, pour le moment, un retournement de tendance, dans le contexte de reprise économique. »
Une incertitude générale
L’article ajoute que « selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), l'indicateur du climat des affaires en France, calculé à partir d'une enquête auprès de chefs d'entreprise des principaux secteurs d'activité, s'est replié de deux points en juin, à 100 points. »
Selon Jack Kennedy, économiste chez Markit, « les entreprises mentionnent "leurs difficultés face à un environnement peu favorable à la demande, malgré l'embellie provisoire liée au déroulement de l'Euro 2016 dans l'Hexagone. »
Par ailleurs, les prestataires de services se disent préoccupés « par les tensions sociales et l'incertitude économique actuelles. »
Car en effet, comme l’explique l’article, « la France est le théâtre depuis plusieurs semaines de mouvements sociaux contre la loi travail, qui ont notamment mené fin mai à des blocages de raffineries, des pénuries de carburants et des perturbations sur les routes, dans les ports et les centrales nucléaires. »
Selon l’Insee, « le climat des affaires dans l'industrie manufacturière perd deux points à 102 points. »
Vladimir Passeron, chef du département de la conjoncture à l'Insee, ajoute : « Certaines branches ont pu se dire que l'effet des grèves, même s'il n'y en avait pas dans ces branches-là, pouvait les conduire à ralentir leur activité au cours des prochains mois. »
Lire l'intégralité de l'article de L'Expansion
Selon Jack Kennedy, économiste chez Markit, « les entreprises mentionnent "leurs difficultés face à un environnement peu favorable à la demande, malgré l'embellie provisoire liée au déroulement de l'Euro 2016 dans l'Hexagone. »
Par ailleurs, les prestataires de services se disent préoccupés « par les tensions sociales et l'incertitude économique actuelles. »
Car en effet, comme l’explique l’article, « la France est le théâtre depuis plusieurs semaines de mouvements sociaux contre la loi travail, qui ont notamment mené fin mai à des blocages de raffineries, des pénuries de carburants et des perturbations sur les routes, dans les ports et les centrales nucléaires. »
Selon l’Insee, « le climat des affaires dans l'industrie manufacturière perd deux points à 102 points. »
Vladimir Passeron, chef du département de la conjoncture à l'Insee, ajoute : « Certaines branches ont pu se dire que l'effet des grèves, même s'il n'y en avait pas dans ces branches-là, pouvait les conduire à ralentir leur activité au cours des prochains mois. »
Lire l'intégralité de l'article de L'Expansion