Qu’elles soient NFC, Near Field Communication, soit, communication en champ proche, ou RFID, implant sous-cutané à radio- indentification, certains précurseurs se font implanter des puces sous la peau. On dit se faire « pucer » ce qui en soi est déjà tout un programme. Ces opérations cyborgs se déroulent lors d’implant parties de plus en plus nombreuses en Europe. Lors du Festival Futur en Seine qui s'es tenu ce mois-ci à Paris, l’intérêt s’est confirmé.
Cet implant sous-cutané souvent fixé dans la main, permet plusieurs choses : le stockage d’informations, à l’image d’une carte de crédit équipée de la technologie dite « sans contact. » Concrètement, avec, il est possible de débloquer smartphone ou ordinateur, d’ouvrir une porte (voiture, maison...), de démarrer un véhicule sans clé, d'enregistrer des coordonnées, de payer une consommation...
Mais cette fois-ci, « c’est son corps qui en est équipé », rappelle Amaelle Guiton dans Libération. Et de fait, cela pose de nombreuses questions : d’ordre moral et éthique en premier lieu. Mais cela touche également, on s’en doute, à la problématique de la protection de la vie privée et celle des données personnelles.
Dans la pratique, le corps médical reste septique. Pose et retrait - ce dernier est encore peu effectué - se déroulent dans un cadre qui n’est pas médical. De plus, rien ne prouve pour l’heure que la pratique est bénigne à long terme. En 2007, l’Associated Press se faisait l’écho d’une étude française, rapporte Libération : sur plus de 1 200 souris « pucées », 4% des rongeurs ont développé une tumeur. Si l’humain augmenté progresse, on comptabilise environ 300 participants lors des implant parties, le volet technique reste à creuser, et le cadre éthique à définir.
Cet implant sous-cutané souvent fixé dans la main, permet plusieurs choses : le stockage d’informations, à l’image d’une carte de crédit équipée de la technologie dite « sans contact. » Concrètement, avec, il est possible de débloquer smartphone ou ordinateur, d’ouvrir une porte (voiture, maison...), de démarrer un véhicule sans clé, d'enregistrer des coordonnées, de payer une consommation...
Mais cette fois-ci, « c’est son corps qui en est équipé », rappelle Amaelle Guiton dans Libération. Et de fait, cela pose de nombreuses questions : d’ordre moral et éthique en premier lieu. Mais cela touche également, on s’en doute, à la problématique de la protection de la vie privée et celle des données personnelles.
Dans la pratique, le corps médical reste septique. Pose et retrait - ce dernier est encore peu effectué - se déroulent dans un cadre qui n’est pas médical. De plus, rien ne prouve pour l’heure que la pratique est bénigne à long terme. En 2007, l’Associated Press se faisait l’écho d’une étude française, rapporte Libération : sur plus de 1 200 souris « pucées », 4% des rongeurs ont développé une tumeur. Si l’humain augmenté progresse, on comptabilise environ 300 participants lors des implant parties, le volet technique reste à creuser, et le cadre éthique à définir.