Plusieurs études, réalisées pour le compte de l'UCI et de ses partenaires depuis 2016 et basées sur des consultations avec de nombreuses parties prenantes, ont montré que le cyclisme sur piste avait un potentiel considérable, mais que son organisation souffrait de problèmes qui l'empêchaient clairement d'être atteinte. Il était donc nécessaire de surmonter ces obstacles pour rendre la discipline plus attrayante, conformément à l'agenda 2022 de l'Union cycliste internationale (UCI).
La Coupe du Monde Piste UCI se compose actuellement de six épreuves, organisées dans le monde entier, qui permettent aux athlètes de se qualifier pour les Championnats du Monde UCI et les Jeux Olympiques. La répartition géographique des rondes, combinée au nombre total de rondes, constitue un fardeau pour les fédérations nationales avec des coûts de participation très élevés, et parfois insoutenables. En outre, les coureurs doivent faire face à des contraintes importantes (longs trajets, décalage horaire, etc.), alors que la grande majorité d'entre eux ne sont pas en mesure de vivre du cyclisme sur piste. En conséquence, les coureurs sautent certaines destinations dès lors que leur qualification pour les grands événements est garantie, alors que ce n'est pas simplement en raison d'un manque de ressources.
Cette stratégie, parfaitement compréhensible, nuit à l'intérêt général que suscite la série. Plus souvent qu'autrement, les spectateurs ne t voir les meilleurs athlètes se rencontrer lors des différentes épreuves et leur niveau de compétition est par conséquent très inégal. Tout cela se reflète dans les chiffres d'audience (au sol et à la télévision) qui sont souvent inférieurs aux attentes.
Le programme sportif de la Coupe du Monde Piste UCI est très riche, avec ses courses de vitesse et d'endurance nuancées qui satisfont les vrais passionnés. Pourtant, cette richesse peut constituer un obstacle à l'accès à la discipline, où les événements sont perçus comme peu clairs pour un nouveau public moins expert, susceptible de suivre les compétitions sur de nouveaux médias.
La Coupe du Monde Piste UCI se compose actuellement de six épreuves, organisées dans le monde entier, qui permettent aux athlètes de se qualifier pour les Championnats du Monde UCI et les Jeux Olympiques. La répartition géographique des rondes, combinée au nombre total de rondes, constitue un fardeau pour les fédérations nationales avec des coûts de participation très élevés, et parfois insoutenables. En outre, les coureurs doivent faire face à des contraintes importantes (longs trajets, décalage horaire, etc.), alors que la grande majorité d'entre eux ne sont pas en mesure de vivre du cyclisme sur piste. En conséquence, les coureurs sautent certaines destinations dès lors que leur qualification pour les grands événements est garantie, alors que ce n'est pas simplement en raison d'un manque de ressources.
Cette stratégie, parfaitement compréhensible, nuit à l'intérêt général que suscite la série. Plus souvent qu'autrement, les spectateurs ne t voir les meilleurs athlètes se rencontrer lors des différentes épreuves et leur niveau de compétition est par conséquent très inégal. Tout cela se reflète dans les chiffres d'audience (au sol et à la télévision) qui sont souvent inférieurs aux attentes.
Le programme sportif de la Coupe du Monde Piste UCI est très riche, avec ses courses de vitesse et d'endurance nuancées qui satisfont les vrais passionnés. Pourtant, cette richesse peut constituer un obstacle à l'accès à la discipline, où les événements sont perçus comme peu clairs pour un nouveau public moins expert, susceptible de suivre les compétitions sur de nouveaux médias.