Un taxi sans chauffeur qui roule et vole, voilà le projet fou qui a été présenté lors du salon automobile de Genève. « Imaginez une capsule ronde, pour deux personnes, connectée et confortable, bardée d’écrans, capable de reconnaître les passagers qui ont planifié leur trajet et réservé leur voyage grâce à une application. L’engin, grâce à une plateforme d’intelligence artificielle, va proposer le parcours le plus efficace possible aux occupants » raconte le journal Le Monde.
On peine à y croire mais c’est un projet très sérieux. Sérieux parce qu’il est porté par Airbus et Italdesign, une filiale de Volkswagen (plus précisément d’Audi). Deux entreprises qui croient dur comme fer que cet appareil est l’avenir. « D’abord, le cocon en fibre de carbone se déplace de manière autonome en se fixant à un module terrestre électrique sur roues. Puis la capsule quitte sa plateforme roulante pour s’insérer dans un train rapide ou, afin d’éviter la congestion urbaine, elle est transportée par un module aérien, un grand drone de 4 mètres sur 5 propulsé par huit rotors. Dans cette configuration, la capsule devient un véhicule électrique autopiloté volant » continue le journal.
Toujours au stade de projet, ce Pop.Up, comme l’ont baptisé les concepteurs, n’est pas un fantasme et les deux entreprises affirment disposer de la technologie pour arriver à leur fin. Mieux, elles affirment que l’appareil volera avant 2018. « La « voiture volante », fantasme depuis plus d’un siècle des futurologues de tous acabits, n’a rien d’une invention nouvelle. Plusieurs prototypes ont été testés à partir des années 1950. Et, pas plus tard que le mois dernier, la société néerlandaise Pal-V a annoncé la commercialisation (pour 500 000 euros) d’une sorte de voiture-avion, le Liberty » commente Le Monde.
Un fantasme qui pourrait voir le jour de manière beaucoup plus accessible grâce à la collaboration d’Airbus et Italdesign. L’une et l’autre ont fait leurs preuves dans leur domaine et leur collaboration rend le projet très crédible.
On peine à y croire mais c’est un projet très sérieux. Sérieux parce qu’il est porté par Airbus et Italdesign, une filiale de Volkswagen (plus précisément d’Audi). Deux entreprises qui croient dur comme fer que cet appareil est l’avenir. « D’abord, le cocon en fibre de carbone se déplace de manière autonome en se fixant à un module terrestre électrique sur roues. Puis la capsule quitte sa plateforme roulante pour s’insérer dans un train rapide ou, afin d’éviter la congestion urbaine, elle est transportée par un module aérien, un grand drone de 4 mètres sur 5 propulsé par huit rotors. Dans cette configuration, la capsule devient un véhicule électrique autopiloté volant » continue le journal.
Toujours au stade de projet, ce Pop.Up, comme l’ont baptisé les concepteurs, n’est pas un fantasme et les deux entreprises affirment disposer de la technologie pour arriver à leur fin. Mieux, elles affirment que l’appareil volera avant 2018. « La « voiture volante », fantasme depuis plus d’un siècle des futurologues de tous acabits, n’a rien d’une invention nouvelle. Plusieurs prototypes ont été testés à partir des années 1950. Et, pas plus tard que le mois dernier, la société néerlandaise Pal-V a annoncé la commercialisation (pour 500 000 euros) d’une sorte de voiture-avion, le Liberty » commente Le Monde.
Un fantasme qui pourrait voir le jour de manière beaucoup plus accessible grâce à la collaboration d’Airbus et Italdesign. L’une et l’autre ont fait leurs preuves dans leur domaine et leur collaboration rend le projet très crédible.