A peine rentable, déjà bousculé. Spotify qui s’est imposé avec Apple dans le secteur du streaming audio est vivement critiqué par les artistes. « Le streaming audio s’est imposé en quelques années et a bouleversé le commerce et la consommation musicale dans de très nombreux pays. Elle a aussi changé la façon dont beaucoup d’artistes sont rémunérés. Ces derniers ne touchent plus de profits issus de la vente de disque, mais des royalties indexées sur les écoutes de leurs musiques. Un business model qui ne convient plus à une partie d’entre eux. C’est dans cette optique que la Copyright Royalty Board (CRB), qui s’occupent (de) reverser les sommes aux artistes, a décidé d’augmenter les redevances de 44% sur cinq ans » raconte Le Journal du Geek.
La guerre est donc déclarée entre les sociétés numériques qui vivent de la diffusion de contenus et refusent d’augmenter la part de ce qui est reversée aux artistes. « Les firmes en question ont directement fait appel de cette décision, en refusant de verser une telle augmentation des royalties aux ayants droit. Étant donné que Spotify représente la tête de file de ce refus, de nombreux artistes ont invectivé la plateforme sur les réseaux sociaux. » souligne le site spécialisé
Le dossier est délicat dans la mesure où la marge de rentabilité des entreprises dans le domaine est faible. Pourtant, leur rôle d’intermédiaire indispensable est difficile à tenir dans la mesure où la concurrence est accrue et qu’il n’y a que très peu d’exclusivité par plateforme. Ainsi, il suffit qu’un acteur trouve le moyen de gagner de l’argent en exécutant la requête de la CRB pour que les autres se trouvent au pied du mur. D’autant que la popularité des ayants droits pourrait couter cher aux sociétés, Spotify en tête. « Pour la première fois en 110 ans, les auteurs-compositeurs perçoivent une augmentation des redevances en fonction de l’évolution du secteur de la musique au cours de cette période, et c’est ainsi que réagissent les entreprises de technologie. Wow. » a déclaré le compositeur Justin Tranter, qui a travaillé sur des tubes de Justin Bieber ou Ariane Grande, souligne le Journal du Geek.
La guerre est donc déclarée entre les sociétés numériques qui vivent de la diffusion de contenus et refusent d’augmenter la part de ce qui est reversée aux artistes. « Les firmes en question ont directement fait appel de cette décision, en refusant de verser une telle augmentation des royalties aux ayants droit. Étant donné que Spotify représente la tête de file de ce refus, de nombreux artistes ont invectivé la plateforme sur les réseaux sociaux. » souligne le site spécialisé
Le dossier est délicat dans la mesure où la marge de rentabilité des entreprises dans le domaine est faible. Pourtant, leur rôle d’intermédiaire indispensable est difficile à tenir dans la mesure où la concurrence est accrue et qu’il n’y a que très peu d’exclusivité par plateforme. Ainsi, il suffit qu’un acteur trouve le moyen de gagner de l’argent en exécutant la requête de la CRB pour que les autres se trouvent au pied du mur. D’autant que la popularité des ayants droits pourrait couter cher aux sociétés, Spotify en tête. « Pour la première fois en 110 ans, les auteurs-compositeurs perçoivent une augmentation des redevances en fonction de l’évolution du secteur de la musique au cours de cette période, et c’est ainsi que réagissent les entreprises de technologie. Wow. » a déclaré le compositeur Justin Tranter, qui a travaillé sur des tubes de Justin Bieber ou Ariane Grande, souligne le Journal du Geek.