Le rapport Doing Business 2014, réalisé en partenariat avec la Banque mondiale, est sorti lundi. 189 économies ont été prises en compte par ce rapport qui évalue le climat des affaires.
L’édition 2014 ne voit aucun changement dans la tête du classement avec en première position depuis 2007 Singapour. La ville État est suivie par Hong Kong, la Nouvelle Zélande, les Etats-Unis et le Danemark.
Les classements sont basés sur dix domaines de régulation des affaires dont le lancement d’un projet entrepreneurial, le règlement des problèmes d’insolvabilité et les échanges internationaux. Les données ont été récoltées entre juin 2012 et mai 2013.
L’édition 2014 ne voit aucun changement dans la tête du classement avec en première position depuis 2007 Singapour. La ville État est suivie par Hong Kong, la Nouvelle Zélande, les Etats-Unis et le Danemark.
Les classements sont basés sur dix domaines de régulation des affaires dont le lancement d’un projet entrepreneurial, le règlement des problèmes d’insolvabilité et les échanges internationaux. Les données ont été récoltées entre juin 2012 et mai 2013.
Pas un reflet de l’attractivité
L’an passé, la dixième édition du Doing business avait classé la Chine 91ème. Les autorités chinoises avaient réagi à cette position désavantageuse en demandant officiellement à la Banque mondiale de corriger cette injustice ou de carrément supprimer le classement.
Le palmarès n’a finalement pas été modifié dans sa version 2013 et la version 2014 confirme en faisant encore reculer la Chine de cinq places.
La Banque mondiale explique cependant que le document ne reflète pas l’attractivité d’un pays. Celle-ci est en effet basée sur des données qui différèrent selon les secteurs et les besoins des entreprises en matière de compétences, de main d’œuvre et de garanties étatiques. Augusto Lopez-Carlos, directeur des indicateurs de la BM explique que « ce n’est qu’un aperçu limité d’un des aspects de la compétitivité ». Le rapport a ainsi plus vocation a souligner les progrès ou régressions dans chaque pays sur l’amélioration de l’environnement économique et la facilitation des affaires.
Le palmarès n’a finalement pas été modifié dans sa version 2013 et la version 2014 confirme en faisant encore reculer la Chine de cinq places.
La Banque mondiale explique cependant que le document ne reflète pas l’attractivité d’un pays. Celle-ci est en effet basée sur des données qui différèrent selon les secteurs et les besoins des entreprises en matière de compétences, de main d’œuvre et de garanties étatiques. Augusto Lopez-Carlos, directeur des indicateurs de la BM explique que « ce n’est qu’un aperçu limité d’un des aspects de la compétitivité ». Le rapport a ainsi plus vocation a souligner les progrès ou régressions dans chaque pays sur l’amélioration de l’environnement économique et la facilitation des affaires.
France 38ème
Dans l’édition 2014, la France perd quatre places par rapport à celle de 2013. La Banque mondiale indique que la position de la France s’explique par son retard sur les enregistrements des propriétés immobilières et les permis de construire, qui sont vus par l’institution comme des obstacles à l’entrepreneuriat et à la concurrence. Le déficit de la balance extérieure de la France a également été pris en compte. En revanche, les compétences françaises en règlement de contentieux sont désignés comme très performants.
À titre de comparaison, l’Espagne est classée 52ème, le Portugal 31ème, l’Allemagne 21ème et le Royaume-Uni 10ème.
Voir ici les conclusions du Doing Business 2014
À titre de comparaison, l’Espagne est classée 52ème, le Portugal 31ème, l’Allemagne 21ème et le Royaume-Uni 10ème.
Voir ici les conclusions du Doing Business 2014