En 2011, la Croix-Rouge française et Essity lançaient l'opération « Kits hygiène et bien-être », afin de concrétiser une ambition commune - rendre l'hygiène accessible à tous -. Le principe : distribuer des kits contenant des produits d'hygiène aux personnes rencontrées par les équipes mobiles/Samu sociaux de la Croix-Rouge française lors de maraudes ou aux personnes orientées vers les lieux d'accueil de jour et les points hygiène.
Depuis, plus de 630 000 kits ont été distribués aux personnes en situation de grande précarité et Essity vient de renouveler son engagement auprès de la Croix-Rouge française pour trois années encore. .
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La mesure d'impact rendue en 2015* montre à quel point cette initiative répond à de vraies attentes. Si les Français ont une vision assez négative de l'hygiène des personnes sans-abri et pensent qu'elles n'ont pas l'habitude de prendre soin d'elles, notamment en se lavant régulièrement, les personnes en grande précarité répondent volontiers que prendre soin de soi, c'est dormir à l'abri certes (93%), mais aussi, de manière massive, se laver le corps (89%), essayer de bien manger et avoir des vêtements propres. Cette étude a été malheureusement confirmée lors de l'évaluation menée tout récemment par les équipes de la Croix-Rouge française auprès de migrants dans la région Hauts-de-France lors de la mise en place de son dispositif mobile d'urgence. Gale, impétigo, dermatites... la majorité des problèmes de santé constatés chez les personnes migrantes sont des pathologies dermatologiques liées aux conditions de vie très précaires en extérieur, aux difficultés d'accès à l'eau et au manque d'hygiène..
Depuis, plus de 630 000 kits ont été distribués aux personnes en situation de grande précarité et Essity vient de renouveler son engagement auprès de la Croix-Rouge française pour trois années encore. .
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La mesure d'impact rendue en 2015* montre à quel point cette initiative répond à de vraies attentes. Si les Français ont une vision assez négative de l'hygiène des personnes sans-abri et pensent qu'elles n'ont pas l'habitude de prendre soin d'elles, notamment en se lavant régulièrement, les personnes en grande précarité répondent volontiers que prendre soin de soi, c'est dormir à l'abri certes (93%), mais aussi, de manière massive, se laver le corps (89%), essayer de bien manger et avoir des vêtements propres. Cette étude a été malheureusement confirmée lors de l'évaluation menée tout récemment par les équipes de la Croix-Rouge française auprès de migrants dans la région Hauts-de-France lors de la mise en place de son dispositif mobile d'urgence. Gale, impétigo, dermatites... la majorité des problèmes de santé constatés chez les personnes migrantes sont des pathologies dermatologiques liées aux conditions de vie très précaires en extérieur, aux difficultés d'accès à l'eau et au manque d'hygiène..