Politique
Vers de nouveaux billets européens
Pixabay/angelolucas
Contrairement aux pièces de monnaie, pour lesquelles chaque pays de la zone euro a décidé de l’effigie et qui, de plus, se dote chaque année d’éditions spéciales commémoratives, les billets en euros sont les mêmes depuis le début de l’aventure de la monnaie unique. Au nombre de 7, ils ont vocation à ne devenir que 6 avec le temps… et d’ailleurs tous ne bénéficieront pas du projet annoncé par la BCE.
Dans un communiqué, Christine Lagarde, présidente de la BCE, explique en effet « qu’après vingt ans, il est temps de revoir l’apparence de nos billets de banque, afin que les Européens de tous âges et de tous horizons puissent s’en sentir plus proches ». Pour certains, les plus jeunes, l’euro est d’ailleurs la seule monnaie qu’ils aient jamais connue… et ce sont les mêmes qui entrent doucement mais sûrement dans la vie active.
Dans un communiqué, Christine Lagarde, présidente de la BCE, explique en effet « qu’après vingt ans, il est temps de revoir l’apparence de nos billets de banque, afin que les Européens de tous âges et de tous horizons puissent s’en sentir plus proches ». Pour certains, les plus jeunes, l’euro est d’ailleurs la seule monnaie qu’ils aient jamais connue… et ce sont les mêmes qui entrent doucement mais sûrement dans la vie active.
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Le projet de la BCE va toutefois devoir répondre à une problématique : celle de l’image qui sera représentée sur les billets et qui doit être représentative de l’ensemble de l’UE. Pour ce faire, la Banque Centrale Européenne se laisse du temps et, surtout, va interroger les citoyens européens. Les nouveaux billets ne devraient pas voir le jour avant 2024, au mieux.
Tous ne bénéficieront pas d’un lifting : les billets de 500 euros, violets, ne sont plus imprimés par la BCE depuis fin 2018. S’ils ont toujours une valeur, ils sont également soupçonnés d’être massivement utilisés par le grand banditisme et le terrorisme, à des fins de financement et de blanchiment d’argent. La BCE veut donc les voir disparaître.
Tous ne bénéficieront pas d’un lifting : les billets de 500 euros, violets, ne sont plus imprimés par la BCE depuis fin 2018. S’ils ont toujours une valeur, ils sont également soupçonnés d’être massivement utilisés par le grand banditisme et le terrorisme, à des fins de financement et de blanchiment d’argent. La BCE veut donc les voir disparaître.