L’ïle de France, zone la plus peuplée du pays, est particulièrement touchée. Tous les départements, à l’exception du Val d’Oise ont relevé la présence du moustique tigre. Une soixantaine de départements sont touchés et l’Agence régionale de santé de l’Ile-de-France souligne une fois de plus les risques liés à cet insecte dont la présence se développe depuis le début des années 2000. « L'Agence régionale de santé (ARS) d'Ile-de-France indique que « le moustique tigre a été identifié dans tous les départements de la région à l'exception du Val d'Oise », où l'on comptait trop peu de signalements l'an passé pour passer le département en zone rouge. Vigilante, l'ARS observe « une expansion du territoire du moustique tigre avec plusieurs communes nouvellement colonisées l'année dernière. Les départements les plus touchés étaient le 92 et le 94. » » rapporte Le Parisien-Aujourd’hui en France.
L’inquiétude de l’ARS est avant tout préventive car aucun cas de chikungunya, de dengue ou de zika n’a été enregistré. Du moins, aucun cas autochtone, puisque des cas de ces maladies tropicales sont généralement importés.
Mais par précaution, les mesures de lutte contre la prolifération du moustique tigre se multiplient. 470 pièges ont été installés en Ile-de-France et surtout autour des aéroports, hôpitaux ou lieux touristiques.
Sans inquiétude excessive, les autorités sanitaires invitent tout le monde à être vigilant en agissant à son niveau contre la prolifération. « Disons-le sans tarder : les produits anti-moustiques (insecticides et répulsifs) ne permettent pas de lutter efficacement et sur la durée contre ces insectes. Pour contrecarrer la prolifération du moustique tigre, il faut éliminer ses lieux de repos et ses lieux de ponte. Pour y parvenir, quelques réflexes simples doivent être adoptés » nous apprend Le Parisien-Aujourd’hui en France. Eau stagnante, buissons non élagués, poubelles, bacs à fleurs doivent ainsi être nettoyés régulièrement pour éviter d’être vecteur de développement.
L’inquiétude de l’ARS est avant tout préventive car aucun cas de chikungunya, de dengue ou de zika n’a été enregistré. Du moins, aucun cas autochtone, puisque des cas de ces maladies tropicales sont généralement importés.
Mais par précaution, les mesures de lutte contre la prolifération du moustique tigre se multiplient. 470 pièges ont été installés en Ile-de-France et surtout autour des aéroports, hôpitaux ou lieux touristiques.
Sans inquiétude excessive, les autorités sanitaires invitent tout le monde à être vigilant en agissant à son niveau contre la prolifération. « Disons-le sans tarder : les produits anti-moustiques (insecticides et répulsifs) ne permettent pas de lutter efficacement et sur la durée contre ces insectes. Pour contrecarrer la prolifération du moustique tigre, il faut éliminer ses lieux de repos et ses lieux de ponte. Pour y parvenir, quelques réflexes simples doivent être adoptés » nous apprend Le Parisien-Aujourd’hui en France. Eau stagnante, buissons non élagués, poubelles, bacs à fleurs doivent ainsi être nettoyés régulièrement pour éviter d’être vecteur de développement.