Le « SeaOrbiter » devrait prendre la mer en 2016. Le projet est faramineux « est une bouée géante dont le flotteur est immergé à 12 mètres de profondeur » résume l’architecte du projet et océanographe Jacques Rougerie. Ce passionné a déjà réuni la majeure partie des 35 millions d’euros nécessaires au projet. Grâce à un consortium d’industriels et de marques partenaires le chantier débutera au printemps 2014.
Le bâtiment est novateur à tous les niveaux. D’abord pour les spécialistes de l’étude en milieu marin il révolutionne les conditions de travail. Ceux-ci passeront plus de temps à bord, « l’équipage pourra ainsi travailler 80 % du temps qu’il passe en mer, contre 30 % sur un navire océanique conventionnel. »
Si Jacques Rougerie a vu si grand, c’est qu’il est persuadé que pour conquérir « ce dernier espace de l’inconnu terrestre » il faut des structures équivalentes aux stations spatiales internationales.
Le bâtiment est novateur à tous les niveaux. D’abord pour les spécialistes de l’étude en milieu marin il révolutionne les conditions de travail. Ceux-ci passeront plus de temps à bord, « l’équipage pourra ainsi travailler 80 % du temps qu’il passe en mer, contre 30 % sur un navire océanique conventionnel. »
Si Jacques Rougerie a vu si grand, c’est qu’il est persuadé que pour conquérir « ce dernier espace de l’inconnu terrestre » il faut des structures équivalentes aux stations spatiales internationales.
« Somme de prototypes »
Les besoins électriques à bord seront couverts par le photovoltaïque déployé sur 340m2 de la coque. Le carburant sera du biodiesel d’algues et des turbines récupéreront l’énergie de la houle. « Cet engin est une somme de prototypes » affirme Jacques Rougerie cité par le quotidien Les Echos.
Un comité scientifique international est chargé de l’organisation des missions. Les chercheurs ont déjà fixé un certain nombre d’objectifs prioritaires dont : l’étude des plastiques à la dérive et leur impact sur l’environnement, des planctons et le maillage dynamique des courants océaniques.
En plus des océanographes, de nombreux scientifiques bénéficieront du projet. D’abord l’aspect novateur des technologies utilisées permettra d’en savoir plus sur les différents prototypes utilisés. Les ingénieurs espèrent en savoir plus sur la résistance des matériaux et des technologies.
Parmi les utilisations, Les Echos relève un programme de la Nasa et de l’Agence spatiale européenne « pour préparer les futurs équipages de vols spatiaux habités au stress de longs voyages dans des conditions de confinement extrêmes. » La partie immergée du bâtiment « servira également d’« appartement témoin » pour tester des solutions de design innovantes intégrant les principes de recyclage « cradle to cradle » (du berceau au berceau), indispensables au futur de l’exploration spatiale. » souligne le quotidien économique.
Un comité scientifique international est chargé de l’organisation des missions. Les chercheurs ont déjà fixé un certain nombre d’objectifs prioritaires dont : l’étude des plastiques à la dérive et leur impact sur l’environnement, des planctons et le maillage dynamique des courants océaniques.
En plus des océanographes, de nombreux scientifiques bénéficieront du projet. D’abord l’aspect novateur des technologies utilisées permettra d’en savoir plus sur les différents prototypes utilisés. Les ingénieurs espèrent en savoir plus sur la résistance des matériaux et des technologies.
Parmi les utilisations, Les Echos relève un programme de la Nasa et de l’Agence spatiale européenne « pour préparer les futurs équipages de vols spatiaux habités au stress de longs voyages dans des conditions de confinement extrêmes. » La partie immergée du bâtiment « servira également d’« appartement témoin » pour tester des solutions de design innovantes intégrant les principes de recyclage « cradle to cradle » (du berceau au berceau), indispensables au futur de l’exploration spatiale. » souligne le quotidien économique.