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Deux amendes et on tourne la page. « Le Premier ministre britannique va recevoir une amende dans le cadre de l’enquête sur les fêtes clandestines organisées à Downing Street pendant les confinements, a annoncé, ce mardi 12 avril, une porte-parole de la résidence officielle du chef du gouvernement britannique. L’épouse de Boris Johnson, Carrie Johnson a également été mise à l’amende, a confirmé son porte-parole. Le ministre des Finances Rishi Sunak, dans la tourmente avec sa femme depuis début avril pour ses dispositions fiscales avantageuses, va également recevoir une amende, a indiqué Downing Street » rapporte le Huffington Post.
L’opposition n’est pas satisfaite par ces sanctions et demande la démission du Premier ministre et du ministre des Finances. Fustigeant notamment les « mensonges » qui ont accompagné la révélation de ces violations des règles de confinement auxquelles . « Boris Johnson a déclaré mardi à la télévision s’être acquitté de l’amende et a présenté des “excuses complètes” pour cet anniversaire surprise qui a duré selon lui “moins de 10 minutes” le 19 juin 2020 dans la salle du conseil des ministres, pour ses 56 ans. “Je dois dire franchement qu’il ne m’a pas semblé à l’époque que cela pouvait enfreindre les règles”, s’est-il justifié. S’il a assuré “comprendre la colère”, il a balayé les appels à la démission, lancés notamment par le chef des travaillistes Keir Starmer et la Première ministre indépendantiste écossaise Nicola Sturgeon. “Je veux maintenant continuer et remplir le mandat qui est le mien”, a-t-il expliqué, citant l’économie et la guerre en Ukraine. Sur Twitter, plusieurs ministres lui ont réaffirmé leur soutien, dont la cheffe de la diplomatie Liz Truss, le ministre de la Justice Dominic Raab et celui de la Santé Sajid Javid. » Même si le « partygate » reste un symbole et un argument pour l’opposition, la pression politique sur Boris Johnson et son équipe semble être passée.
L’opposition n’est pas satisfaite par ces sanctions et demande la démission du Premier ministre et du ministre des Finances. Fustigeant notamment les « mensonges » qui ont accompagné la révélation de ces violations des règles de confinement auxquelles . « Boris Johnson a déclaré mardi à la télévision s’être acquitté de l’amende et a présenté des “excuses complètes” pour cet anniversaire surprise qui a duré selon lui “moins de 10 minutes” le 19 juin 2020 dans la salle du conseil des ministres, pour ses 56 ans. “Je dois dire franchement qu’il ne m’a pas semblé à l’époque que cela pouvait enfreindre les règles”, s’est-il justifié. S’il a assuré “comprendre la colère”, il a balayé les appels à la démission, lancés notamment par le chef des travaillistes Keir Starmer et la Première ministre indépendantiste écossaise Nicola Sturgeon. “Je veux maintenant continuer et remplir le mandat qui est le mien”, a-t-il expliqué, citant l’économie et la guerre en Ukraine. Sur Twitter, plusieurs ministres lui ont réaffirmé leur soutien, dont la cheffe de la diplomatie Liz Truss, le ministre de la Justice Dominic Raab et celui de la Santé Sajid Javid. » Même si le « partygate » reste un symbole et un argument pour l’opposition, la pression politique sur Boris Johnson et son équipe semble être passée.