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Le streaming musical n’a pas atteint son plafond de verre. A l’image son cousin de la vidéo, cette nouvelle habitude s’appuie sur quelques acteurs clés dont le succès dit quelques chose du rapport de notre époque à la musique. « La croissance du marché mondial de la musique s’est poursuivie pour la sixième année, en 2020, de 7,4 % à 21,6 milliards de dollars (17,7 milliards d’euros), selon la Fédération internationale de l’industrie phonographique. Le streaming a clairement mis en œuvre et amplifié le rebond de cette industrie depuis une décennie. Grâce à leurs 443 millions d’abonnés payants, les plates-formes comme Spotify, Apple Music, Amazon Prime, Deezer, etc., représentent désormais 62 % du chiffre d’affaires mondial du secteur » résume Le Monde .
On retrouve quelques similitudes avec le streaming vidéo. De la même façon, on observe les pionniers du milieu survivre à l’arrivée de concurrents qui sont des mastodontes d’autres secteurs. « Le numéro un, le suédois Spotify, après avoir traversé l’année 2020 avec insolence, en gagnant 31 millions de nouveaux abonnés payants, connaît des problèmes de riches. Le PDG, Daniel Ek, a dû reconnaître, fin avril sur la chaîne CNBC, que la progression était « un peu plus faible que prévu ». A la fin du premier trimestre, le groupe, désormais présent dans 170 pays, affichait tout de même 158 millions d’abonnés payants, soit « seulement » 3 millions de plus qu’au 31 décembre 2020. Mince consolation, cette petite gueule de bois est partagée par un autre numéro un du streaming, vidéo cette fois-ci, Netflix. Après une année flamboyante liée à la pandémie, son portefeuille mondial d’abonnés payants a atteint 208 millions fin mars – 2 millions de moins que prévu – et sa croissance ralentit. Il ne table « que » sur 1 million d’abonnés supplémentaires pour le trimestre en cours, contre 10 millions sur la même période en 2020 » lit-on dans les colonnes du quotidien.
Mais la rentabilité est plus difficile à obtenir dans ce secteur. Les plateformes misent beaucoup sur des contenus exclusifs de podcasts pour se distinguer de la concurrence.
On retrouve quelques similitudes avec le streaming vidéo. De la même façon, on observe les pionniers du milieu survivre à l’arrivée de concurrents qui sont des mastodontes d’autres secteurs. « Le numéro un, le suédois Spotify, après avoir traversé l’année 2020 avec insolence, en gagnant 31 millions de nouveaux abonnés payants, connaît des problèmes de riches. Le PDG, Daniel Ek, a dû reconnaître, fin avril sur la chaîne CNBC, que la progression était « un peu plus faible que prévu ». A la fin du premier trimestre, le groupe, désormais présent dans 170 pays, affichait tout de même 158 millions d’abonnés payants, soit « seulement » 3 millions de plus qu’au 31 décembre 2020. Mince consolation, cette petite gueule de bois est partagée par un autre numéro un du streaming, vidéo cette fois-ci, Netflix. Après une année flamboyante liée à la pandémie, son portefeuille mondial d’abonnés payants a atteint 208 millions fin mars – 2 millions de moins que prévu – et sa croissance ralentit. Il ne table « que » sur 1 million d’abonnés supplémentaires pour le trimestre en cours, contre 10 millions sur la même période en 2020 » lit-on dans les colonnes du quotidien.
Mais la rentabilité est plus difficile à obtenir dans ce secteur. Les plateformes misent beaucoup sur des contenus exclusifs de podcasts pour se distinguer de la concurrence.