François Hollande, le président de la République, a annoncé qu’il recevrait les syndicats de policiers en « début de semaine ». Des centaines d’entre eux ont manifesté de nouveau jeudi soir à Paris et dans plusieurs villes de France.
« Il est très important que nous puissions donner une perspective et une réponse immédiate, et donc que les policiers sachent bien que le gouvernement et le président de la République sont dans une démarche de dialogue », a déclaré le Président de la République.
« Il est très important que nous puissions donner une perspective et une réponse immédiate, et donc que les policiers sachent bien que le gouvernement et le président de la République sont dans une démarche de dialogue », a déclaré le Président de la République.
Un « appel au dialogue »
« Dans le cadre du mouvement actuel – qui se déroule hors du cadre syndical – M. Hollande a déjà réaffirmé mercredi son ‘soutien’ aux policiers et appelé au ‘dialogue avec leurs syndicats’, explique un article en ligne du journal Le Monde qui ajoute que « le ministre de l’intérieur avait réuni le même jour en urgence les organisations représentatives pour leur annoncer le lancement, dès lundi 24 octobre, de concertations dans les départements sur les revendications policières. »
Ensuite, « elles avaient été reçues longuement par le ministre de la justice, Jean-Jacques Urvoas. Mais le mouvement, né d’une violente attaque au cocktail Molotov contre quatre policiers à Viry-Châtillon (Essonne) le 8 octobre, a continué de faire tache d’huile. »
Ce sera « la deuxième fois que le chef de l’Etat reçoit directement les syndicats de policiers depuis le début de son quinquennat », ajoute l’article du Monde : « En octobre 2015, déjà, après une manifestation organisée par les syndicats place Vendôme, les représentants des forces de l’ordre avaient été invités à l’Elysée. »
Le patron des policiers, Jean-Marc Falcone, assure : « Le ministre de l’intérieur m’a demandé expressément de mettre en œuvre et de lui faire des propositions dans le courant de la semaine prochaine sur un plan dit sécurité publique. Maintenant il faut qu’on passe à une phase pour mieux équiper, rééquiper, donner plus de moyens » aux policiers des unités de sécurité publique.
Lire l’intégralité de l’article du Monde ici.
Ensuite, « elles avaient été reçues longuement par le ministre de la justice, Jean-Jacques Urvoas. Mais le mouvement, né d’une violente attaque au cocktail Molotov contre quatre policiers à Viry-Châtillon (Essonne) le 8 octobre, a continué de faire tache d’huile. »
Ce sera « la deuxième fois que le chef de l’Etat reçoit directement les syndicats de policiers depuis le début de son quinquennat », ajoute l’article du Monde : « En octobre 2015, déjà, après une manifestation organisée par les syndicats place Vendôme, les représentants des forces de l’ordre avaient été invités à l’Elysée. »
Le patron des policiers, Jean-Marc Falcone, assure : « Le ministre de l’intérieur m’a demandé expressément de mettre en œuvre et de lui faire des propositions dans le courant de la semaine prochaine sur un plan dit sécurité publique. Maintenant il faut qu’on passe à une phase pour mieux équiper, rééquiper, donner plus de moyens » aux policiers des unités de sécurité publique.
Lire l’intégralité de l’article du Monde ici.